Pont F. 2021 : Saint-Genis-Laval (Auvergne-Rhône-Alpes) Zac Vallon des hôpitaux, tranche 1, rapport de diagnostic, Bron, Inrap.
Saint-Genis-Laval – Zac du Vallon des Hôpitaux (tranche 2)
Entrées d’index
Année de l'opération :
2021Numéro d’opération :
2214035Chronologie :
époque contemporaineNature de l'opération :
opération de diagnosticNotes de la rédaction
Organisme porteur de l’opération : Inrap
Robert V. 2021 : Saint-Genis-Laval (Auvergne-Rhône-Alpes) Zac du Vallon des Hôpitaux, tranche 2, rapport de diagnostic, Bron, Inrap.
Texte intégral
1Cette seconde tranche de diagnostic réalisée du 22 au 30 mars 2021, sur un projet global d’aménagement du centre urbain de Saint-Genis-Laval, porte sur une surface de 9 525 m2 diagnostiquée à 8,9 %.
2Si les indices d’origine anthropique découverts dans l’emprise du projet semblent nombreux, la forte majorité présente un caractère très récent. Il s’agit pour l’essentiel de réseaux et canalisations d’eaux et d’eaux usées parfois non répertoriés et de maçonneries datant, pour la plupart, de la seconde moitié du xixe s. ou du début du xxe s. Cette anthropisation récente des lieux, liée d’abord aux différentes infrastructures du centre expérimental vétérinaire des Hôpitaux civils de Lyon (HCL) puis à l’exploitation agricole de la Patinière, affecte partout les sols et parfois le sous-sol en profondeur, soit par des remaniements, soit par des pollutions. La présence de ces dernières rend difficile la détection d’éléments antérieurs.
3Les seuls indices présentant un aspect un peu « ancien » sont, d’une part, des structures comblées de galets au nord de l’emprise et, d’autre part, au sud, des lambeaux de constructions, qui appartiennent, selon toute vraisemblance, aux divers corps anciens de la ferme de la Pâtinière, attestée dès le xviie s.
4Les quatre fosses et fossés comblés de galets rencontrés dans la moitié nord de l’emprise se situent pour la majorité dans des zones polluées et perturbées. Malheureusement, aucun élément ne permet de dater des vestiges. Les lambeaux de murs au sud n’ayant pas été investigués outre mesure, en raison de la présence de fragments de fibrociment dans l’environnement, c’est donc le lien avec les archives de la fin du xviiie s. et du début du xixe s. qui permet de les corréler avec les anciens bâtiments disparus.
Fig. 1 – La ferme de la Patinière au début des années 1940 et la façade du bâtiment ancien en mars 2021
Archives Apsal.
Clichés : F. Notier (Inrap).
Table des illustrations
Titre | Fig. 1 – La ferme de la Patinière au début des années 1940 et la façade du bâtiment ancien en mars 2021 |
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Légende | Archives Apsal. |
Crédits | Clichés : F. Notier (Inrap). |
URL | http://journals.openedition.org/adlfi/docannexe/image/128642/img-1.jpg |
Fichier | image/jpeg, 925k |
Titre | Fig. 2 – Interprétation de F25 en relation avec une photographie des années 1940 |
Légende | Archives Apsal. |
Crédits | Vue aérienne @IGN 1962 ; DAO : F. Notier (Inrap). |
URL | http://journals.openedition.org/adlfi/docannexe/image/128642/img-2.jpg |
Fichier | image/jpeg, 875k |
Pour citer cet article
Référence électronique
Bruno Robert, « Saint-Genis-Laval – Zac du Vallon des Hôpitaux (tranche 2) » [notice archéologique], ADLFI. Archéologie de la France - Informations [En ligne], Auvergne-Rhône-Alpes, mis en ligne le 15 novembre 2022, consulté le 29 mars 2024. URL : http://journals.openedition.org/adlfi/128642
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