Fig. 1: The Sanctuary seen from the Split Rock
Fig. 2 The Split Rock and the Built Tomb. In the foreground, the architrave blocks with the dedication of Maussollos
Fig. 3 Plan of the sanctuary
Labraunda is situated approximately 700 m above sea level, near the top of a steep mountain overlooking the Mylasa valley (Fig. 1). It was a place of worship already during the Archaic period, with a sacred spring under a split rock and a sanctuary dedicated to Cybele (Baran, 2011; Carstens, 2009; Hellström, 1994, p. 39; Hornblower, 1982; Westholm, 1963, pp. 90ff, pp. 105f; regarding the sanctuary of Kybele, see Karlsson, 2013a, pp. 298-300) (Fig. 2). There were several natural springs along the processional way leading up to Labraunda (Durusoy & Altinöz, 2013, p. 346; Durusoy, 2015, p. 91). Herodotos (V.119), Strabo (14.2.23), Plutarch, and Aelian (XII.30) mention Labraunda as the place where Zeus was worshipped by the local population. Most of the standing structures that are visib...
]]>IFEA’s annual scientific journal dedicated to archaeology, Anatolia Antiqua, covers a wide range of disciplines from fieldwork to various themes related to cultural heritage including archaeometry and materials science. The journal is composed of two parts; the first part being devoted to scientific articles and the second part, namely the “Chronicles of archaeological works in Turkey”, including reports of all archaeological excavations and studies in Turkey, encompassing a chronological span from prehistory up to the modern period.
Articles submitted for publication must be original works and must not have been published previously in another journal. Submitted articles will be reviewed by the international scientific committee, assisted by the editorial board of the journal, whose decisions regarding acceptance or rejection are sovereign.
Articles whose subjects ...
]]>Revue scientifique annuelle de l’IFEA dédiée à l’archéologie, Anatolia Antiqua couvre un large éventail de disciplines, allant des travaux de terrain aux thématiques du patrimoine culturel en passant par l’archéométrie et l’étude de matériel. Elle se compose de deux parties : une première partie consacrée aux articles de synthèse et une seconde partie intitulée « Chroniques des travaux archéologiques en Turquie », laquelle est destinée aux rapports des fouilles et études archéologiques en Turquie et ses régions avoisinantes de la préhistoire à la période médiévale au sens large.
Les articles soumis ne doivent pas avoir été publiés antérieurement dans un autre périodique. Les articles seront soumis au comité scientifique international assisté du comité de rédaction. Les décisions en matière d’acceptation ou de refus sont souveraines.
Les articles dont les sujets relèvent ...
]]>Ainsi, les opérations de terrain des différents programmes de recherches de la mission ont été ajournées et, dans l’urgence, nous avons mis en place une stratégie d’intervention adaptée à ce singulier contexte. Ce nouveau programme avait pour ambition d’entreprendre une série d’actions nécessaires mais systématiquement reportées d’années en années par manque de fond. Il s’agissait principalement de :
- Procéder à l’aménagement du nouveau dépôt de fouille avec la réorganisation et le reconditionnement du matériel de fouille, et la mise en place d’une base de données précise et exhaustive ;
- Effectuer les travaux de remise aux normes du nouveau dépôt (eau, sanitaire, peinture, réfection de murs et de la cour extérieure) ;
- Fair...
]]>Fig. 1 Aphrodite orientale de Myrina, IIe- Ier s. av. J.-C.
Musée du Louvre, Myr 1
©RMN-Grand Palais Musée du Louvre, Hervé Lewandowski
Fig. 2 Aphrodite orientale de Myrina, Ier s. av. J.-C.
Musée du Louvre, Myr 2
©RMN-Grand Palais Musée du Louvre, Stéphane Maréchalle
Cette appellation d’Aphrodite orientale est ancienne et a été donnée par Edmond Pottier et Salomon Reinach en 1887 aux figurines qu’ils avaient découvertes dans les tombes de Myrina fouillées entre 1880 et 1882 (Pottier & Reinach, 1887, p. 155-156). Elles se présentent sous la forme de femmes assises nues, parfois drapées et debout, aux bras fréquemment articulés et portent sur la tête de très hauts et riches diadèmes ajourés ou non et ornés notamment de motifs orientaux ou égyptiens (Figs. 1, 2) (Besques, 1963, p. 11, pl. 9 a, b, c [Myr 1] ; 9 d [Myr 2]). Leur buste est paré de luxueux bijoux et elles sont parfois chaussées de hauts cothurnes, à l’instar des acteurs trag...
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