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Bulletin critique

Alice Vanetti, Archéologie du bâti, Histoire et épistémologie des origines à nos jours (France, Italie, Suisse)

Bastien Lefebvre
p. 343-345
Référence(s) :

Alice Vanetti, Archéologie du bâti, Histoire et épistémologie des origines à nos jours (France, Italie, Suisse), Dijon, Éditions universitaires de Dijon, 2020, 293 p., ISBN : 978-2-36441-387-0.

Texte intégral

  • 1 J. Burnouf J. et C. Arlaud, « L’archéologie du bâti médiéval urbain », Les nouvelles de l’archéolog (...)

1« L’archéologie du bâti existe-t-elle ? » C’est la question que posaient en 1993, il y a presque trente ans, Catherine Arlaud et Joëlle Burnouf à l’issue du dossier des Nouvelles de l’archéologie consacré à « L’archéologie du bâti médiéval urbain »1. L’énoncé, sous forme de question, proposait ouvertement d’ouvrir un débat, ce qui, en un sens, peut être considéré comme un important jalon, sinon un acte fondeur pour l’archéologie du bâti en France.

2Il serait faux de dire que l’ouvrage d’Alice Vanetti relance ce débat. Celui-ci n’a en effet pas cessé depuis 1993, comme l’attestent les colloques, les articles, ou les tribunes consacrés à ce sujet. En revanche, il est certain que l’ouvrage dont il est ici question pose pour la première fois les bases solides d’une discussion sur ce que peut être l’archéologie du bâti, aujourd’hui, en offrant un regard critique qui jusqu’alors faisait défaut. Mais le texte d’Alice Vanetti donne finalement plus que cela à voir, en dépassant largement la thématique de l’archéologie du bâti et en proposant une historiographie inédite – au sens propre – de l’archéologie médiévale.

3L’ouvrage, composé de 293 pages, est issu d’une thèse soutenue par l’auteure en 2017 à l’université de Bourgogne Franche-Comté. Ce travail répond à une demande des spécialistes de l’archéologie du bâti « de clarifier son histoire, ses méthodes et ses contenus théoriques » (p. 268). Le résultat, publié en 2020 comme le 51e supplément à la Revue archéologique de l’Est, est à la hauteur de ces attentes. Le propos, exigeant et pointu, est articulé en deux grandes parties, l’une consacrée à l’historiographie de l’archéologie médiévale, l’autre à l’épistémologie de l’archéologie du bâti. En réalité, l’ouvrage est composé de cinq chapitres. Le premier propose d’explorer les origines de l’archéologie médiévale. Si l’approche retenue est avant tout chronologique, Alice Vanetti navigue en même temps avec habileté d’un pays à l’autre, entre la France, l’Angleterre et l’Allemagne du xixe siècle. Le propos offre l’occasion de présenter les grandes figures qui ont participé à la formalisation de l’intérêt pour les vestiges post-antiques, le patrimoine et la culture médiévale, parmi lesquelles dominent Arcisse de Caumont, Eugène Emmanuel Viollet-le-Duc et Gottfried Semper. La contextualisation de leurs travaux et leur mise en perspective à l’échelle de l’Europe occidentale permettent de mieux appréhender, au regard par exemple de l’archéologie chrétienne, la position de ces auteurs. Le propos revient aussi sur la création des Monuments historiques qui, fournissant une réponse institutionnelle à la protection du bâti ancien, accompagne ce mouvement en France et en Bavière dès les années 1830, mais pas au Royaume-Uni. La place de la Société française d’archéologie, notamment des Congrès archéologiques, comme celle des sociétés savantes qui, à cette période, œuvrent pourtant beaucoup pour la connaissance des vestiges médiévaux, est en revanche absente du propos, sans doute parce que moins cohérente. Dans la première moitié du xxe siècle, au Proche-Orient et en Europe, l’étude des « monuments » s’ouvre à celle des contextes dans lesquels ils s’inscrivent. L’ouvrage souligne que l’urbanisme apporte des réponses intéressantes à cette problématique, tandis qu’en Allemagne, la Bauforschung propose une approche globale incluant la fouille, la documentation, la restitution, la conservation-restauration des constructions dans leur contexte de réalisation. Le texte rappelle que si la limite entre archéologie et architecture est fine, elle l’est aussi avec l’histoire de l’art, bien que cette dernière constitue une école différente. À ce titre, on aurait pu s’attendre à ce que les travaux et les approches proposés par Pierre Lavedan soient discutés mais curieusement cet auteur, historien de l’art de formation s’intéressant à l’architecture et à l’urbanisme, est absent de la réflexion.

4On le sait, le fascisme et le nazisme ont conduit à un traitement très différent des vestiges médiévaux, ceux-ci étant effacés en Italie, mais mis en avant en Allemagne, en fonction du discours nationalisme retenu. Alice Vanetti revient sur cette période, mais n’évoque pas la situation française, certes atone, sauf du point de vue institutionnel puisque c’est sous le régime de Vichy qu’est instaurée la loi Carcopino qui encadre la réalisation des fouilles archéologiques. À l’issue de la guerre, on constate que l’étude des vestiges médiévaux reste globalement « fragmentée » entre architecture, histoire de l’art et archéologie chrétienne (p. 75-76). Une nouvelle archéologie médiévale qui s’intéresse non seulement aux sociétés humaines et à leur rapport à leur environnement, mais aussi à la culture matérielle, émerge dans les années 1950 à partir d’expériences menées au Royaume-Uni et en Pologne. Le chapitre 3 détaille ce processus. Rapidement, des thématiques de recherches et des théories se font jour : les fouilles des villages désertés contribuent alors de manière significative au débat, parallèlement aux opérations menées en milieu urbain. En Allemagne, l’intérêt porte davantage sur les premiers habitats. Le démarrage est plus tardif en France et en Italie. Pour l’hexagone, le constat que dresse Alice Vanetti est sévère. Elle s’interroge sur les conséquences de cette occasion manquée, voire « ratée » (p. 94), en pointant le défaut de communication et le manque de rapprochement entre les pionniers de l’archéologie médiévale française, Michel de Boüard, Gabrielle Démians d’Archimbaud et Jean-Marie Pesez. L’ouvrage détaille certaines réponses données par l’archéologie médiévale à la réhabilitation/modernisation des centres anciens, notamment le cas lyonnais caractérisé par la poursuite de thématiques traditionnelles, centrées sur les établissements funéraires et religieux, mais laisse de côté des approches plus originales, par exemple celle conduite en archéologie urbaine à Tours. Contrairement à la situation française, qui reste hétérogène, les rencontres et les collaborations menées au Royaume-Uni et en Italie conduisent à une réflexion épistémologique qui favorise l’institutionnalisation de l’archéologie médiévale. Reprenant les propos de Jean Chapelot, Alice Vanetti pointe de manière assez dure l’impasse dans laquelle serait aujourd’hui enfermée l’archéologie médiévale française, noyée par les données de l’archéologie préventive, qui empêcherait, pour elle, de passer de nos jours du sujet de recherche qu’elle représente à un champ de recherche (p. 115), une condition nécessaire pour qu’elle soit institutionnalisée professionnellement et académiquement. La question se pose ; néanmoins, sans nier les difficultés françaises, les situations que l’on connaît actuellement en Italie et au Royaume-Uni, où le nombre d’archéologues a fortement diminué ces dix dernières années et où récemment plusieurs universités ont choisi de fermer leur département d’archéologie, n’augurent rien de bon pour l’avenir de la recherche dans ces pays.

  • 2 J. Wood, Buildings Archaeology, Applications in Practice, Barnsley, Oxbow, 1994.

5Fort d’une présentation historiographique qui détaille la mise en œuvre d’une « première » archéologie médiévale au xixe siècle, puis d’une « seconde » à partir des années 1950-1960, qui globalement laisse, sauf en Suisse, l’architecture de côté, la deuxième partie de l’ouvrage prend à bras-le-corps le sujet de l’archéologie du bâti. La logique retenue est analogue à celle qui caractérise la première partie : une approche chronologique passant d’un pays à l’autre, plus précisément ici entre la France, l’Italie et la Suisse, soulignant les particularités de chacun. Dans son introduction, Alice Vanetti justifie ce choix qu’elle limite aux trois pays reconnus comme ayant été « pionniers » sur cette thématique, et qui entretiennent en outre des liens étroits (p. 15). L’Espagne et la Belgique sont donc écartées. Le Royaume-Uni aussi alors que certains chercheurs avaient promu la Building Archaeology, comme en France l’archéologie du bâti et en Italie l’archeologia dell’architettura, dès le début des années 19902. D’emblée, l’ouvrage précise que, si le point de départ est le même en France et en Italie, les propositions formulées dans les deux pays sont bien différentes. Avec maturité, l’auteure présente et analyse les situations respectives, en ne manquant pas de procéder, comme le souligne Christian Sapin dans sa préface, à un retour aux sources. L’approche archéologique des élévations trouve son origine dans l’archéologie médiévale des années 1960, dans un contexte où les enjeux concernant la conservation du patrimoine et la restauration des centres urbains sont de plus en plus importants. Les expériences italiennes sont les plus riches, portées par des programmes de recherche aujourd’hui emblématiques : la Crypta Balbi analysée par Daniele Mancorda, ou le complexe de Santa Giulia à Brescia étudié par Gian Pietro Brogiolo, que l’ouvrage prend le soin de présenter finement. Les résultats de ces opérations permettent aux archéologues du bâti, réunis autour d’une revue, Archeologia dell’architettura, publiée en 1996 d’abord comme un supplément à Archeologia medievale puis de manière autonome, d’être intégrés dès la phase projet aux programmes de restauration-conservation des monuments ou des espaces urbains.

  • 3 J. Burnouf, « Discours d’introduction », dans I.Parron-Kontis et N. Reveyron (dir.) Archéologie du (...)
  • 4 Institut de recherche sur l'architecture antique.
  • 5 F. Boudon, A. Chastel, H. Couzy et F. Hamon 1977, Système de l'architecture urbaine : le quartier d (...)

6En France, l’archéologie du bâti est associée aux recherches conduites à Lyon dans les années 1980-1990 et l’expression est utilisée pour la première fois en 1993 dans le dossier des Nouvelles de l’archéologie déjà mentionné. On le sait, l’expression est une revendication, mais pas tant pour promouvoir une lecture archéologique de l’architecture que pour intégrer à la problématique archéologique l’étude des constructions civiles et/ou modestes : là où il n’y a « rien à voir » comme l’écrivait Joëlle Burnouf3. Le lien n’est donc pas fait avec les études de bâti menées par les architectes qui s’intéressent aux monuments antiques, au Proche-Orient ou en métropole, notamment au sein de l’IRAA4 (l’ouvrage ne le mentionne d’ailleurs pas), ni avec les Monuments historiques. Marquée par la situation lyonnaise, l’archéologie du bâti s’est même construite contre. En tant qu’historienne, Alice Vanetti travaille à partir des sources dont elle dispose, les publications scientifiques, ce qui laisse inévitablement des angles morts, notamment face aux travaux menés bien avant les années 1980 sur l’architecture civile urbaine ou vernaculaire, au sein de l’Inventaire général des monuments et richesses artistiques de la France engagé en 1964, ou à travers l’étude colossale du quartier des Halles à Paris menée notamment par Françoise Boudon et André Chastel5, dont la dimension dépasse largement celle de l’édifice.

7Aujourd’hui, on peut retenir comme le propose Alice Vanetti qu’il existe des archéologies du bâti, une situation due au contexte institutionnel différent entre les deux pays qui s’explique aussi par des divergences dans les objectifs poursuivis, notamment en France. Par exemple, en Italie, la théorisation de l’archéologie du bâti que propose Tiziano Mannoni vise à inscrire le bâti dans l’archéologie globale – et non pas totale – d’un territoire, dans le cadre de divers projets de recherche, en insistant sur les entités et leurs relations. Parallèlement, l’archéologie du bâti, comme proposition de lecture d’un édifice, est globalement intégrée dans la démarche de conservation-restauration des édifices et contribue à l’élaboration des projets de restauration et de mise en valeur. Malgré cela, l’archeologia dell’architettura n’est pas reconnue officiellement.

  • 6 À Pont-à-Mousson en 1994 (non publié) et à Saint-Romain-en-Gall en 2001, qui visait précisément un (...)

8La situation est différente en France. Alice Vanetti reconnaît que l’archéologie du bâti qui s’y pratique est « un sujet difficile à classer dans une catégorie spécifique », notamment parce que ses méthodes et ses enjeux n’ont finalement jamais été définis (p. 219), malgré la tenue de deux colloques6 et d’un troisième organisé en 2019 à Auxerre, soit après la rédaction de sa thèse et la préparation de cet ouvrage. Aujourd’hui, pour certains, l’archéologie du bâti ne serait rien de moins que de l’archéologie globale (et plutôt médiévale et moderne) dont l’enjeu serait peu ou prou le même que l’archeologia dell’architettura, c’est-à-dire une proposition exigeante, dont la pratique est néanmoins limitée à en croire le faible nombre de travaux publiés dans ce sens. Pour d’autres, il s’agirait d’une méthode, une lecture du bâti en particulier, reposant sur l’acquisition des données, l’analyse stratigraphique et l’archéométrie. Si cette approche est moins théorisée et plus partagée, il faut reconnaître qu’on ne la retrouve pas systématiquement dans les travaux menés par des archéologues sur le bâti, beaucoup s’affranchissant dans les faits de la lecture stratigraphique pour réaliser une étude du bâti, y compris dans le cadre des opérations d’archéologie préventive prescrites par l’État. Ce principe, qui repose sur l’appréhension visuelle et l’identification empirique des phases de construction, est aussi celui que l’on retrouve dans les travaux suisses marqués par la Bauforschung, ceux-ci entretenant toutefois plus de liens avec l’architecture et l’histoire de l’art.

  • 7 Ibid.

9Sans distribuer bons ou mauvais points, Alice Vanetti dresse le constat de pratiques hétérogènes qui selon elle desservent aujourd’hui l’archéologie du bâti. Loin de faire le pari que ces positions pourront dans le futur s’affiner, se renforcer, se croiser et s’enrichir, elle insiste au contraire sur le fait que « la définition d’un statut partagé de l’archéologie du bâti s’avère […] particulièrement importante afin d’en préserver l’histoire et les particularités », notamment compte tenu de nouvelles technologies qui « élargissent considérablement les possibilités » (p. 263) mais peuvent représenter un risque (p. 268). C’est ainsi que l’ouvrage aborde, de manière assez tardive, la question des relevés, ce qui étonne puisqu’il s’agit d’un enjeu mis en avant à plusieurs reprises dans les publications, notamment dans le colloque de 20017. En quelques lignes, il est question de scanner 3D, de photogrammétrie et des expériences visant à élaborer des SIG pour intégrer des données relatives au bâti. L’apport de ces « nouvelles technologies » est reconnu, tout en signalant de manière un peu expéditive que « l’informatique ne doit jamais être l’objectif de la recherche » (p. 268). On notera par ailleurs que ce que l’archéométrie apporte au débat sur l’archéologie du bâti n’est pas évoqué dans l’ouvrage, alors même qu’il s’agit d’une orientation importante, notamment pour ceux qui s’intéressent au domaine de la construction (économie des ressources et du chantier).

10Au carrefour de l’histoire, de l’histoire de l’art, de l’architecture, de l’archéométrie, et sans qu’elle ne soit limitée aux seules maçonneries conservées en élévation, ni même paradoxalement à une seule source qui serait le bâti, l’« archéologie du bâti » peut être débattue mais peut difficilement être définie de manière univoque, comme finalement bien des concepts (le Moyen Âge par exemple…). En revanche, il est certain qu’elle (ou ce qu’elle représente) s’inscrit pleinement dans les sciences humaines et les sciences historiques, et donne des résultats très pertinents.

11Quel futur pour l’archéologie du bâti ? Nul ne le sait. Alice Vanetti imagine deux directions : une disparition de l’archéologie du bâti au profit d’une « analyse stratigraphique des élévations », limitant l’approche à ses méthodes, à moins que ne soit engagée une redéfinition de ses problématiques et de son rôle dans la conservation-restauration. Forgée comme une revendication, l’expression n’a de sens que pour ce qu’elle défend. L’ouvrage ne revient pas sur le débat concernant la place qu’a l’archéologie du bâti dans l’archéologie préventive en France ou celle qu’elle devrait avoir. Le propos est davantage orienté vers la conservation-restauration et les Monuments historiques, laissant ainsi à l’écart des enjeux les constructions non protégées, en particulier le bâti ordinaire. La thèse, comme l’ouvrage, n’avaient bien sûr par l’ambition de faire des propositions concrètes, cependant, il n’est certainement pas erroné de penser qu’elle a eu une incidence sur le colloque d’Auxerre en octobre 2019 (Alice Vanetti y a d’ailleurs présenté ses travaux) qui s’est conclu par une motion adressée au ministre de la Culture appelant à préciser le déroulement d’une opération d’archéologie sur monuments historiques.

12Sans l’affirmer, cet ouvrage, construit comme un récit des origines, s’inscrit en effet dans cette volonté d’institutionnaliser l’archéologie du bâti. Pour cette fin, l’auteure embrasse le sujet de manière large, proposant une importante contextualisation et traitant non seulement d’archéologie mais aussi de politiques urbaines, de politiques culturelles, et de notion de patrimoine. Au terme de cette lecture, chacun comprendra que le débat sur l’archéologie du bâti, son histoire, ses méthodes, ses objectifs et même sa vocation, n’est pas clos et ne pourra sans doute jamais l’être. Et c’est justement pour l’introspection qu’il propose que cet ouvrage intéressera tous les archéologues du bâti (au passage, un autre concept à interroger) ou tous ceux qui portent de l’intérêt au bâti et au construit, soit bien au-delà du cercle des archéologues médiévistes.

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Notes

1 J. Burnouf J. et C. Arlaud, « L’archéologie du bâti médiéval urbain », Les nouvelles de l’archéologie, n°53-54, 1993, p. 5-69.

2 J. Wood, Buildings Archaeology, Applications in Practice, Barnsley, Oxbow, 1994.

3 J. Burnouf, « Discours d’introduction », dans I.Parron-Kontis et N. Reveyron (dir.) Archéologie du bâti : pour une harmonisation des méthodes, Actes de la table ronde de Saint-Romain-en-Gal, 9 et 10 nov. 2001, Paris, Errance, 2005, p. 11.

4 Institut de recherche sur l'architecture antique.

5 F. Boudon, A. Chastel, H. Couzy et F. Hamon 1977, Système de l'architecture urbaine : le quartier des Halles à Paris, Paris, Éditions du CNRS, 1977.

6 À Pont-à-Mousson en 1994 (non publié) et à Saint-Romain-en-Gall en 2001, qui visait précisément une « harmonisation des méthodes » (I. Parron-Kontis I. et N. Reveyron, Archéologie du bâti : pour une harmonisation des méthodes, Actes de la table ronde de Saint-Romain-en-Gal, 9 et 10 nov. 2001, Paris, Errance, 2005).

7 Ibid.

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Pour citer cet article

Référence papier

Bastien Lefebvre, « Alice Vanetti, Archéologie du bâti, Histoire et épistémologie des origines à nos jours (France, Italie, Suisse) »Archéologie médiévale, 51 | 2021, 343-345.

Référence électronique

Bastien Lefebvre, « Alice Vanetti, Archéologie du bâti, Histoire et épistémologie des origines à nos jours (France, Italie, Suisse) »Archéologie médiévale [En ligne], 51 | 2021, mis en ligne le , consulté le 19 avril 2024. URL : http://journals.openedition.org/archeomed/39754 ; DOI : https://doi.org/10.4000/archeomed.39754

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