Navigation – Plan du site

Accueil189599ChroniquesCorrespondance et errataCorrespondance et errata

Chroniques
Correspondance et errata

Correspondance et errata

p. 248

No 97 : Sur les pas de Charles Pathé

À propos des sites de localisation des lieux de tournage – notamment celui de Roland Lack – dont il a été question dans le n97 (pp. 32-34), Denis Dupont nous écrit qu’il a pu être mis en place une application mobile « Vincennes : Sur les pas de Charles Pathé », dont l’utilisation permet d’avoir l’information en direct en fonction de sa localisation : https://izi.travel/fr/8004-vincennes-sur-les-pas-de-charles-pathe/r#e6f24004-3869-4858-adba-faefe7938060 ; qu’il avait partagé une présentation avec R. Lack à la Cinémathèque française sur les lieux de tournage que l’on peut visionner : https://www.cinematheque.fr/video/1469.html ; et qu’il a fait inscrire à la BNF le site http://www.thecinetourist.net/ dans les collectes « en profondeur ».

No 98 : Edmond T. Gréville, « Pour un cinéma sexuel »

On nous signale une réaction contemporaine de la publication de cet article d’Edmond T. Gréville dont nous avons reproduit l’intégralité dans le n98 (pp.186-188), paru sans signature, mais vraisemblablement dû à Léon Moussinac, dans l’Humanité du 11 janvier 1929 (p. 4) sous le titre : « De quoi manque le cinéma français ». L’auteur cite des passages du texte paru dans Cinegraph et conclut : « M. Edmond Gréville exagère. Il n’y a pas que du sex-appeal dans Une femme dans chaque port [A Girl in Every Port, Howard Hawks, 1928], les Nuits de Chicago [Underworld, Josef von Sternberg, 1927], le Club 73 [sic. le Club des trois/The Unholy Three, Tod Browning, 1925] ou les Ombres blanches [White Shadows in the South Seas, W.S. Van Dyke-Robert Flaherty, 1928]. Cela compte, certes, dans ces films, mais n’est pas suffisant à assurer leur succès. Il y a une qualité de fantaisie ou d’émotion, un caractère de certaines scènes qui vaut bien la caresse sur l’épiderme. Ceci n’est pas pour défendre le cinéma français, qui, notamment, manque de sexe. Mais pourquoi M. Edmond Gréville ne parle-t-il pas du cinéma soviétique ? C’est qu’il y a sans doute dans le Potemkine, la Mère, Octobre, la Fin de Saint-Pétersbourg, Onzième année, Zvenygora, pour ne citer que ceux-là, d’autres sujets d’excitation… »

Search OpenEdition Search

You will be redirected to OpenEdition Search