J’ai découvert le travail de Vincent Pinel pendant que j’écrivais un livre sur l’œuvre d’Agnès Varda. Frappée par l’importance attribuée par Varda au réseau ciné-club à l’époque de Cléo de 5 à 7, j’ai lu son Introduction au ciné-club, écrite en 1964. Ensuite, je l’ai contacté pour lui demander un entretien. Il m’a généreusement accueilli deux fois chez lui, à Saint-Germain-en-Laye, le 17 mai et le 3 juin 2017, pour parler de son parcours biographique et de la culture cinématographique. J’ai été impressionnée par ses interventions dans plusieurs domaines du monde du cinéma, y compris l’animation, la programmation, la direction d’un cinéma art et essai, le montage, la réalisation, la conservation, la recherche, l’écriture et l’édition d’une revue. Il a joué un rôle dans de nombreuses institutions importantes, y compris le ciné-club Jeune Cinéma, la fédération Inter-Film, l’IDHEC, la Maison de culture au Havre, la Cinémathèque française, et la revue 1895. Que ce soit en faisant venir J...
Vincent Pinel : un catalyseur de la culture cinématographique
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Kelley Conway, « Vincent Pinel : un catalyseur de la culture cinématographique », 1895. Mille huit cent quatre-vingt-quinze, 102 | 2024, 274-281.
Référence électronique
Kelley Conway, « Vincent Pinel : un catalyseur de la culture cinématographique », 1895. Mille huit cent quatre-vingt-quinze [En ligne], 102 | 2024, mis en ligne le 01 juillet 2025, consulté le 09 novembre 2025. URL : http://journals.openedition.org/1895/11388 ; DOI : https://doi.org/10.4000/14vu5
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