Cindy Nimchuk. « The Persepolis Apadana Foundation Deposit ». CSMS, 40, sept. 2005, pp. 33-37. (Symposium in honour of T. Cuyler Young, Jr.)
Texte intégral
1Dans la tradition orientale des dépôts de fondation, ceux de l’Apadana de Persépolis présentent des traits originaux : absence de référence à ces dépôts dans les inscriptions cachées avec ceux-ci, usage exclusif de l’or et de l’argent pour les tables de fondation, présence de monnaies, en or et en argent également, des objets alors nouveaux en Orient. On s’est surtout intéressé jusqu’à présent aux monnaies pour dater la construction de l’Apadana. L’A. s’attache ici à la symbolique des objets déposés : l’inscription DPh, répétée à deux angles de l’Apadana, et peut-être aux quatre à l’origine, ne mentionne pas les quatre quartiers du monde comme le font d’autres inscriptions, mais leur emplacement même dans le bâtiment les indique ; le plan serait alors une représentation de l’empire. En revanche, l’inscription mentionne des pays aux limites de l’empire qui sont tous réputés riches en or.
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Référence électronique
Rémy Boucharlat, « Cindy Nimchuk. « The Persepolis Apadana Foundation Deposit ». CSMS, 40, sept. 2005, pp. 33-37. (Symposium in honour of T. Cuyler Young, Jr.) », Abstracta Iranica [En ligne], Volume 28 | 2007, document 109, mis en ligne le 18 septembre 2007, consulté le 15 juin 2025. URL : http://journals.openedition.org/abstractairanica/16232 ; DOI : https://doi.org/10.4000/abstractairanica.16232
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