« Überlegungen zur Architektur der achaemenidischen Felsengräber von Naqš-e Rostam ». AMIT, 38, 2006 (2007), p. 333-345.
Texte intégral
1Après d’autres, l’A. s’interroge sur la fonction du grand panneau lisse taillé en dessous de chacune des quatre tombes royales de Naqš-e Rostam. Elle présente des exemples d’escaliers en bois ou en matériaux pérennes à travers l’Asie ancienne – mais la Chine et la Corée ne sont-elles pas un peu loin de l’Iran ? Par ailleurs certains escaliers qu’elle mentionne donnent accès non pas à des tombes, mais à des temples. Il reste que son hypothèse d’un escalier en bois, peut-être sur toute la largeur du panneau lisse, probablement non permanent, est plausible. Une telle installation est à mettre en rapport avec le récit de Ctésias (Persica § 15) qui narre l’ascension du tombeau par des proches de Darius. Les prêtres et les parents qui les hissaient du haut lâchèrent les cordes et tous moururent. Mais cet épisode ne contredit pas totalement l’hypothèse d’un escalier qui aurait pu être installé plus tard, ou bien seulement dans des circonstances officielles.
Pour citer cet article
Référence électronique
Rémy Boucharlat. Brigitte Musche, « « Überlegungen zur Architektur der achaemenidischen Felsengräber von Naqš-e Rostam ». AMIT, 38, 2006 (2007), p. 333-345. », Abstracta Iranica [En ligne], Volume 31 | 2011, document 56, mis en ligne le 11 octobre 2012, consulté le 07 juin 2023. URL : http://journals.openedition.org/abstractairanica/39419 ; DOI : https://doi.org/10.4000/abstractairanica.39419
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