Johannes Hackl. „Nochmals zum é ud.1.kam und seiner vermeintlichen Rolle im babylonischen Neujahrsfest – ein Beitrag zur Kulttopographie Babylons in hellenistischer Zeit“
Johannes Hackl. „Nochmals zum é ud.1.kam und seiner vermeintlichen Rolle im babylonischen Neujahrsfest – ein Beitrag zur Kulttopographie Babylons in hellenistischer Zeit“, Zeitschrift für Assyriologie und Vorderasiatische Archäologie (ZA) 111, 2021, p. 88-99.
Texte intégral
1Le temple appelé « é ud.1.kam », mot-à-mot « temple du premier jour » a souvent été considéré comme un autre nom du temple de l’Akitu de Babylone où se déroulait la Fête du Nouvel An. En fait, les attestations d’époque hellénistique réunies et réétudiées par J. Hackl en fournissent non seulement le nom akkadien (bīt ūmakkal) mais aussi la localisation à proximité directe du parc des genévriers à l’intérieur de l’Esagil. J. H. peut ainsi en préciser l’usage, à la suite de Y. Mitsuma (NABU 2008/69): il ne s’agit pas du temple de l’Akitu, mais d’un lieu où se déroulait un culte effectué durant toute la journée, d’après l’équivalence akkadienne. L’analyse développée par J. H. ne confirme pas non plus l’hypothèse de P.J. Kosmin (Time and its adversaries in the Seleucid Empire, Cambridge, MA, 2019) selon laquelle le « é ud.1.kam » aurait fonctionné comme un sanctuaire dédié à la célébration du début de l’ère séleucide. L’article de J. H. fournit en appendice un corpus à jour des attestations du « é ud.1.kam » dans la littérature cunéiforme du Ier millénaire av. J.-C.
Pour citer cet article
Référence électronique
Francis Joannès, « Johannes Hackl. „Nochmals zum é ud.1.kam und seiner vermeintlichen Rolle im babylonischen Neujahrsfest – ein Beitrag zur Kulttopographie Babylons in hellenistischer Zeit“ », Abstracta Iranica [En ligne], Volume 44 | 2022, document 13, mis en ligne le 30 juillet 2022, consulté le 07 octobre 2024. URL : http://journals.openedition.org/abstractairanica/54799 ; DOI : https://doi.org/10.4000/abstractairanica.54799
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