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AccueilRégionsOcéan Indien et TAAF2020La RéunionSaint-Denis – NEO (phases 2 et 3)

2020
La Réunion

Saint-Denis – NEO (phases 2 et 3)

Opération préventive de diagnostic (2020)
Responsable d’opération : Frédéric Gerber

Notes de la rédaction

Organisme porteur de l’opération : Inrap

Gerber F., Baffert M. 2021 : La Réunion, Saint-Denis, Nouvelle Entrée Ouest Phases 2 et 3, rapport de diagnostic archéologique 2020, Inrap NAOM, 306 p.

Texte intégral

1Le projet NEO (Nouvelle Entrée Ouest), porté par la Région, la ville de Saint-Denis et la CINOR, correspond au prolongement de la Nouvelle Route du Littoral (NRL), construite entre la Possession et Saint-Denis. Ce nouveau projet d’ampleur prévoit la refonte totale de la bande littorale de la ville de Saint-Denis, en parallèle aux boulevards G.-Macé, Joffre et Lancastel. Le projet concernant au total plus de 2 km d’un secteur à fort potentiel patrimonial, marin et militaire en particulier, ce diagnostic a été prescrit conjointement par la Dac de La Réunion et le Drassm.

  • 1 Équipe de terrain et de post-fouille : Frédéric Gerber, Mélissa Baffert (étude du mobilier), Nathal (...)

2Faisant suite à l’opération de diagnostic de 2017 « NEO Phase 1 » (Cornec 2018), qui avait elle-même donné lieu à la fouille place Charles-de-Gaulle en 2019 (Decanter à paraître ; cf. F. Decanter, Saint-Denis – Place Charles-de-Gaulle, 2019), les phases 2 et 3 du diagnostic ont été réalisées en une seule opération archéologique. Elle a concerné près de 11 ha, sur une bande de 2,5 km de long entre l’actuelle place Sarda-Garriga à l’ouest et le cimetière des volontaires à l’est. L’opération a été conduite par l’Inrap1, entre le 21 septembre et le 6 novembre 2020, au sein des zones accessibles. Les axes et espaces de circulation ont été épargnés ; et les arbres (parfois centenaires) et les plantations, préservés. Au total, 52 sondages ont été ouverts (fig. 1).

Fig. 1 – Plan de l’ensemble des sondages effectués (phases 2 et 3)

Fig. 1 – Plan de l’ensemble des sondages effectués (phases 2 et 3)

Relevé : OMT ; DAO : M. Baffert (Inrap).

3Sur les tracés envisagés du projet NEO, des aménagements conséquents des xviiie et xixe s., connus par les sources historiques (écrites et iconographiques), pourraient être affectés. À ce titre, les problématiques de recherches étaient multiples. Pour le domaine maritime, le but était de localiser précisément, de caractériser et de vérifier l’état de conservation des vestiges du port du Barachois (1829-1937) et de rechercher d’éventuels aménagements antérieurs à celui-ci. Concernant le domaine militaire, l’enjeu était d’étudier les vestiges de la batterie Royale et de la batterie Rouillé (xviiie-xixe s.) ; et pour le domaine ferroviaire, de rechercher les vestiges enfouis de la gare (1883-1976). Enfin, la dernière portion du diagnostic devait permettre de caractériser l’occupation potentielle de la zone située entre l’ancienne gare et le cimetière militaire des volontaires, à proximité du cimetière de l’Est.

4Le diagnostic a débuté sur un des secteurs conservant les vestiges d’une infrastructure parmi les plus emblématiques de l’histoire de la ville de Saint-Denis : le port du Barachois (fig. 2 ; Leveneur 2020).

Fig. 2 – La Réunion, Saint-Denis – Le Barachois. Saunier, Charles, photographie de 1870

Fig. 2 – La Réunion, Saint-Denis – Le Barachois. Saunier, Charles, photographie de 1870

IHOI 18P1.10_PHO.2012.2277.07, MADOI.

Crédits : DR.

  • 2 Terme utilisé aux xviie et xviiie s. pour nommer les berges aménagées en pente douce sur lesquelles (...)

5À la fin du xviiie s. déjà, cet endroit servait d’atterrissement2 aux chaloupes, sous la forme d’un simple plan incliné sans aucune protection (« la Calle »). Entre 1818 et 1824, une série de projets d’aménagement ont vu le jour pour l’édification d’un port abrité, accueillant les chaloupes qui assuraient le transbordement depuis les navires restés en mer.

6Dès 1819, les travaux débutèrent avec la mise en place d’une longue jetée. Un raz de marée détruisit en partie cette digue en 1829 et créa alors une sorte de bassin, le port était né. Mais ce dernier, en proie aux ouragans et aux courants marins, nécessitait un entretien coûteux et régulier. Après la construction du port à la Pointe des Galets en 1886 (commune actuelle du Port), il fut peu à peu abandonné. L’entrée du bassin finit par être totalement obstruée par les galets rejetés par la houle. Son comblement débuta en 1912 et fut définitivement achevé en 1937, à l’occasion la foire-exposition.

7Sous l’actuelle place Sarda-Garriga, les sondages ont permis la (re)découverte des aménagements portuaires : le mur délimitant le bassin et la plate-forme portuaire située en surplomb, les rampes et la chaussée du quai bas auquel venaient accoster les chaloupes. Le tout se présente dans un état de conservation remarquable.

8Le quai a pu être observé sur 2,20 m de long et pratiquement 3 m de haut (fig. 3). Son parement, constitué de gros blocs basaltiques (30 x 35 cm ; 32 x 40 cm), liés au mortier de chaux, est couronné par des dalles disposées en boutisse, débordant de 7-8 cm par rapport à ce dernier. Le départ de la rampe occidentale a été dégagé, laissant voir un parement en blocs de basalte de tailles irrégulières, contenant un plot carré de 28 cm de côté et de 13 cm de hauteur, où une tige métallique est insérée (fig. 4). Cet élément soutenait le préau installé en avant du mât de pavillon, disposé sur des fines colonnes, probablement en fonte. Le mur marquant la limite portuaire, au sud, a été observé dans deux sondages, sur 3 m de hauteur au maximum, où neuf assises sont conservées. Massif, il est construit en pierres taillées liées au mortier. Sa largeur totale reste inconnue, le mur n’ayant pu être dégagé que sur une quarantaine de centimètres.

Fig. 3 – Vue de détail du parement du quai Usc 10 du sondage 3

Fig. 3 – Vue de détail du parement du quai Usc 10 du sondage 3

Cliché : F. Gerber (Inrap).

Fig. 4 – Vue d’ensemble de la rampe orientale

Fig. 4 – Vue d’ensemble de la rampe orientale

Cliché : M. Baffert (Inrap).

9Sur ce même secteur, les fondations du bâtiment du mât de Pavillon ont été en partie mises au jour, avec, sur deux angles, un ingénieux système réutilisant des ancres de marine comme amarres pour les filins qui tenaient le mât servant à communiquer avec les navires de mer. Ce dispositif fut érigé au moment de la construction du port, dès le début du xixe s. Son emplacement au débouché d’une des deux rampes reliant le quai à la plateforme portuaire et sa physionomie avec son bâtiment quadrangulaire néoclassique servant de socle, pourraient indiquer une inspiration tirée de celui de Pondichéry en Inde.

  • 3 IHOI 18P1.6_PHO.2012.2272.49 : Photographie de La Pauline (français) et le Selly (Italien) en rade (...)

10Dans le jardin public du Barachois, outre les remblais comblant le bassin portuaire, la digue orientale qui fermait celui-ci a pu être observée. Cet ouvrage, relativement bien conservé, possède un parement sur sa partie orientale, constitué de beaux blocs de basalte taillés (30 x 45 cm et 45 x 50 cm), soigneusement ajustés pour former un profil en double courbure, chaque pierre du parement ayant une morphologie unique (fig. 5). Les joints sont faits d’un enduit beige/ocre, encore bien conservé. Plus bas, sur la grève, une section de cette même digue résiste au-delà du mur brise lame, au contact direct du ressac. Le mortier de cette construction, rouge à sa base, permet d’alimenter l’hypothèse que la digue ait été construite sur les restes de la jetée Milius du xixe s. Une photographie prise entre 1897 et le début du xxe s. montre cette digue, clairement identifiée dans le sondage 103.

Fig. 5 – Digue orientale du port du Barachois

Fig. 5 – Digue orientale du port du Barachois

Cliché : M. Baffert (Inrap).

11Concernant les infrastructures militaires, si aucun vestige de la batterie Royale ne semble être conservé (il ne reste de cet ouvrage que la base des remblais ayant servi à créer la plateforme qui l’accueillait), il n’en va pas de même pour la batterie Rouillé. Deux sondages ont révélé que la base des murs retenant les remblais de galets qui la constituaient, est conservée. Ces éléments permettent de recaler très précisément les plans de l’ouvrage conservés aux archives départementales et une restitution de la butte d’artillerie a pu être proposée (fig. 6).

Fig. 6 – Plan de la Batterie de Rouillé, coté en altimétrie, d’après un relevé réalisé en 1862 sous les ordres du chef du Bataillon du Génie, extrait du plan de Projet pour 1863

Fig. 6 – Plan de la Batterie de Rouillé, coté en altimétrie, d’après un relevé réalisé en 1862 sous les ordres du chef du Bataillon du Génie, extrait du plan de Projet pour 1863

FR ANOM24 23DFC0882.

  • 4 Partie du littoral alternativement couverte et découverte par la mer.
  • 5 FR ANOM 23DFC0030B : Isle de Bourbon. Quartier St. Denis, après 1732 ; FR ANOM 23DFC0367A : Plan de (...)

12Entre ces deux ouvrages défensifs, une série de sondages a permis de restituer le profil de l’estran4 antérieur aux imposants travaux de remblaiement réalisés entre 1808 et 1842, qui apparaissent quand on compare les plans de ces deux dates. L’ancien chemin de Sainte-Suzanne, qui apparaît sur plusieurs plans dès le xviiie s.5 a été plusieurs fois recoupé par les tranchées exploratoires. Celles-ci ont également révélé la présence d’un aménagement de bassins du xixe s., peu profond, dont la fonction reste encore à définir (fig. 7).

Fig. 7 – Vue d’ensemble du bassin nord et de ses canalisations

Fig. 7 – Vue d’ensemble du bassin nord et de ses canalisations

Cliché : M. Baffert (Inrap).

13À hauteur de l’ancienne gare ferroviaire, dont les principaux bâtiments (les halles marchandes et le bâtiment voyageurs) sont encore en élévation, les sondages n’ont révélé qu’une couche de ballast au niveau des voies ; rails et traverses métalliques ont été systématiquement récupérés. Le sol pavé, en bordure des longères, est en revanche bien conservé.

  • 6 FR ANOM 23DFC0112terA : Plan de la ville de St. Denis et de ses environs, Isle Bonaparte, 1808.
  • 7 ADR 974 2 Q 185 : Saint-Denis. No 3 : Délimitation des pas géométriques de la partie comprise entre (...)

14Les documents d’archives indiquent pour le secteur entre l’ancienne gare et le cimetière militaire, la présence de dunes de sable au tout début du xviiie s.6 (fig. 8), puis de maisons et de jardins dans les années 18707, et de pavillons qui semblent standardisés, à la fin des années 1940. Si les dunes de sable et le sol du jardin d’une des maisons de la fin du xixe s. ont bien été retrouvés, toutes les autres traces d’occupation semblent avoir disparu au cours des travaux routiers des années 1970-1980.

Fig. 8 – Les sables à olivines du sondage 47, qui constituaient les dunes mentionnées dès le xviiie s.

Fig. 8 – Les sables à olivines du sondage 47, qui constituaient les dunes mentionnées dès le xviiie s.

Cliché : F. Gerber (Inrap).

15Les résultats de ce diagnostic se traduisent par la collecte de données nouvelles, et par endroits inédites pour la connaissance de cette partie du littoral dionysien. La mise au jour des vestiges de l’ancien port du Barachois, ouvrage maritime clé dans l’histoire de la ville et plus globalement pour celle de La Réunion, a suscité l’intérêt de la population. Bien que connus par les sources historiques, les sondages ont permis de documenter les modes de construction de la digue, des rampes, du quai bas, du mât de pavillon – aux installations inventives et peu ordinaires – et de constater leur très bon état de conservation. Les batteries militaires des xviiie et xixe s. ont été recherchées, mais seuls les restes de la batterie de Rouillé ont pu être étudiés ; ne subsistant de la batterie Royale que des remblais. Tout comme pour l’ancien port du Barachois, l’identification des vestiges maçonnés de la batterie Rouillé ont permis de recaler précisément leurs plans respectifs.

16Visible dès le xviiie s. sur plusieurs plans, le chemin de Sainte-Suzanne, reliant Saint-Denis à Sainte-Suzanne, a été plusieurs fois recoupé par les tranchées exploratoires.

17Enfin, la découverte de bassins en bordure du littoral est inédite, et questionne sur les activités en relation avec ces derniers, dans ce secteur en bordure de la ville au xixe s.

18Outre les informations directement issues des sondages, cette opération a été l’occasion d’examiner quelques pièces métalliques d’anciennes marines. Indépendamment du projet NEO, un important ouvrage d’art est en travaux depuis 2019 à l’entrée de la ville : le Nouveau Pont sur la Rivière Saint-Denis (NPRSD). Celui-ci permettra le raccord entre la NRL et le futur tracé de NEO. En 2019, des sondages réalisés en mer sur ce secteur, à une trentaine de mètres du rivage, ont mis au jour 15 pièces métalliques en rapport avec les aménagements des pontons (embarcadères/débarcadères) d’anciennes marines situées au Barachois. Consécutivement à cette découverte, un bilan d’observation avait été rédigé par la Confrérie des Gens de la Mer à la demande de Laurent Segelstein, responsable du service Ville d’Art et d’Histoire (CGDLM, 2019). En 2020, avec la poursuite des travaux, de nouvelles pièces ont été trouvées dont une probable pointe de brise-roche (fig. 9). Cet élément, long de 116 cm et 12,5 cm de diamètre, pourrait faire partie d’un système permettant de préparer le terrain en mer en brisant les galets afin d’y enfoncer les pieux.

Fig. 9 – La probable pointe de brise-roche faisant partie d’un système permettant de préparer le terrain

Fig. 9 – La probable pointe de brise-roche faisant partie d’un système permettant de préparer le terrain

Cliché : F. Gerber (Inrap).

19Les pontons des marines étaient des constructions relativement atypiques dans leur mode de fonctionnement. Hauts d’une dizaine de mètres, avec des pieux pour la plupart coulés d’une seule pièce, ils constituent une véritable prouesse technique, rendue possible par l’industrie métallurgique du xixe s. Les recherches ont montré que les éléments découverts en 2020 pourraient appartenir au pont Labourdonnais, d’après leur lieu de découverte. De plus, les photographies anciennes montrent que les ponts Petit Pont et Moreau étaient sur pieux de bois. Les ponts utilisant avec certitude des pieux métalliques sont ceux du Barachois (fig. 10), Manès et Labourdonnais. Si, pour la reconstruction du pont Labourdonnais en 1874-1875, l’approvisionnement est connu (industries Five-Lille ; Leveneur 2020, p. 148), l’ouvrage du début du xixe s. n’a pu bénéficier du même fournisseur, cette compagnie n’ouvrant ses portes qu’en 1868.

20Ces pièces métalliques sont les seuls vestiges matériels en notre possession qui documentent les anciens aménagements de pontons en mer.

Fig. 10 – La Réunion, Saint-Denis - Pont Labourdonnais. Chardon, Édouard, carte postale (1903-1930)

Fig. 10 – La Réunion, Saint-Denis - Pont Labourdonnais. Chardon, Édouard, carte postale (1903-1930)

IHOI 5FI16.144, Conseil général de La Réunion, Archives départementalesCrédits : DR.

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Bibliographie

Cornec T. 2018 : La Réunion, Saint-Denis, route du Littoral, boulevard Jean-Macé, place du Général De Gaulle, square Labourdonnais, projet Nouvelle Entrée Ouest, rapport de diagnostic archéologique 2017, Inrap GSO, 150 p.

Decanter F. à paraître : La Réunion, Saint-Paul, 17 route des premiers Français, rapport de diagnostic archéologique, Inrap NAOM.

Leveneur B. 2020 : Le Barachois. Saint-Denis-sur-Mer, 1733-1963. Epsilon éditions, 300 p.

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Notes

1 Équipe de terrain et de post-fouille : Frédéric Gerber, Mélissa Baffert (étude du mobilier), Nathalie Busseuil (mise en page du rapport) ; moyens techniques : 2TR (mécanisation), OMT (topographie).

2 Terme utilisé aux xviie et xviiie s. pour nommer les berges aménagées en pente douce sur lesquelles viennent atterrir les bateaux à marée basse (équivalent à grave, grève, ou plage).

3 IHOI 18P1.6_PHO.2012.2272.49 : Photographie de La Pauline (français) et le Selly (Italien) en rade Saint-Denis, quelques heures avant la tempête. Mathieu, Henri (18..-19.. ?), entre 1897 et le début du xxe s. (MADOI, droits réservés).

4 Partie du littoral alternativement couverte et découverte par la mer.

5 FR ANOM 23DFC0030B : Isle de Bourbon. Quartier St. Denis, après 1732 ; FR ANOM 23DFC0367A : Plan de la ville de St. Denis. Feuille no 6, G. Robin, 1842 ; FR ANOM 23DFC1558B : Plan de la place de St. Denis, A. Durbec, 1873.

6 FR ANOM 23DFC0112terA : Plan de la ville de St. Denis et de ses environs, Isle Bonaparte, 1808.

7 ADR 974 2 Q 185 : Saint-Denis. No 3 : Délimitation des pas géométriques de la partie comprise entre la rivière du Butor et la place Candide pour servir à la révision desdites concessions, 1877.

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Table des illustrations

Titre Fig. 1 – Plan de l’ensemble des sondages effectués (phases 2 et 3)
Crédits Relevé : OMT ; DAO : M. Baffert (Inrap).
URL http://journals.openedition.org/adlfi/docannexe/image/115454/img-1.jpg
Fichier image/jpeg, 814k
Titre Fig. 2 – La Réunion, Saint-Denis – Le Barachois. Saunier, Charles, photographie de 1870
Légende IHOI 18P1.10_PHO.2012.2277.07, MADOI.
Crédits Crédits : DR.
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Fichier image/jpeg, 375k
Titre Fig. 3 – Vue de détail du parement du quai Usc 10 du sondage 3
Crédits Cliché : F. Gerber (Inrap).
URL http://journals.openedition.org/adlfi/docannexe/image/115454/img-3.jpg
Fichier image/jpeg, 987k
Titre Fig. 4 – Vue d’ensemble de la rampe orientale
Crédits Cliché : M. Baffert (Inrap).
URL http://journals.openedition.org/adlfi/docannexe/image/115454/img-4.jpg
Fichier image/jpeg, 1,0M
Titre Fig. 5 – Digue orientale du port du Barachois
Crédits Cliché : M. Baffert (Inrap).
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Fichier image/jpeg, 915k
Titre Fig. 6 – Plan de la Batterie de Rouillé, coté en altimétrie, d’après un relevé réalisé en 1862 sous les ordres du chef du Bataillon du Génie, extrait du plan de Projet pour 1863
Légende FR ANOM24 23DFC0882.
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Fichier image/jpeg, 931k
Titre Fig. 7 – Vue d’ensemble du bassin nord et de ses canalisations
Crédits Cliché : M. Baffert (Inrap).
URL http://journals.openedition.org/adlfi/docannexe/image/115454/img-7.jpg
Fichier image/jpeg, 884k
Titre Fig. 8 – Les sables à olivines du sondage 47, qui constituaient les dunes mentionnées dès le xviiie s.
Crédits Cliché : F. Gerber (Inrap).
URL http://journals.openedition.org/adlfi/docannexe/image/115454/img-8.jpg
Fichier image/jpeg, 828k
Titre Fig. 9 – La probable pointe de brise-roche faisant partie d’un système permettant de préparer le terrain
Crédits Cliché : F. Gerber (Inrap).
URL http://journals.openedition.org/adlfi/docannexe/image/115454/img-9.jpg
Fichier image/jpeg, 645k
Titre Fig. 10 – La Réunion, Saint-Denis - Pont Labourdonnais. Chardon, Édouard, carte postale (1903-1930)
Légende IHOI 5FI16.144, Conseil général de La Réunion, Archives départementalesCrédits : DR.
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Fichier image/jpeg, 733k
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Pour citer cet article

Référence électronique

Frédéric Gerber, « Saint-Denis – NEO (phases 2 et 3) » [notice archéologique], ADLFI. Archéologie de la France - Informations [En ligne], Océan Indien et TAAF, mis en ligne le 23 février 2022, consulté le 14 juin 2025. URL : http://journals.openedition.org/adlfi/115454

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Auteur

Frédéric Gerber

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