Plougonvelin (Finistère). Toul-Logot
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Numéro d’opération :
53713Chronologie :
époque moderneNature de l'opération :
archéologie du bâtiTexte intégral
1L’intervention menée en juin 2009 sur la batterie côtière de Toul-Logot poursuit celle effectuée en juin 2008 (Archéologie médiévale 39, 2009, p. 252). Elle a consisté à dégager les ruines du corps de garde, bâtiment construit après l’inspection de 1793. Elle a permis de comprendre l’agencement intérieur du bâtiment. Des sondages complémentaires dans la terrasse d’artillerie apportent la certitude que le parapet en terre était consolidé, sur le côté interne et dans sa partie inférieure, par des pierres plates de gneiss local posées de chant, surmontées sur une vingtaine de centimètres par des petits moellons disposés à l’horizontale. Une mise en valeur du site, en réseau avec d’autres batteries côtières du même type, doit commencer dans le courant de l’année 2010.
Pour citer cet article
Référence papier
Jean-Yves Éveillard, « Plougonvelin (Finistère). Toul-Logot », Archéologie médiévale, 40 | 2010, 275.
Référence électronique
Jean-Yves Éveillard, « Plougonvelin (Finistère). Toul-Logot » [notice archéologique], Archéologie médiévale [En ligne], 40 | 2010, mis en ligne le 07 septembre 2018, consulté le 21 janvier 2025. URL : http://journals.openedition.org/archeomed/15251 ; DOI : https://doi.org/10.4000/archeomed.15251
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