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Les fonds anciens des Archives communales d’Orléans ont été versés aux Archives départementales du Loiret sous les cotes CC 537 à CC 564 pour les comptes de la forteresse et CC 644 à CC 673 pour les comptes de la ville ; voir Michaud-Fréjaville 1987 ; Michaud-Fréjaville 2005.
Petit 1986.
Roux-Capron, Alix, André et al. 2014.
Michaud-Fréjaville 1980, p. 68.
Leduc 1967 ; Michaud-Fréjaville 1982 ; Contamine 1999. La question de la maîtrise d’ouvrage de la forteresse n’est pas discutée ici, on se permettra de renvoyer le lecteur aux études de référence, notamment Michaud-Fréjaville 2005.
Il existe une transcription sommaire des travaux accomplis pendant la reconstruction de la forteresse entre 1435-1463 par Ley 1989.
AD Loiret, 2J 257, fol. 13.
AM Orléans, 1Fi 069, vers 1754.
Remise à jour en décembre 2014.
Laurent Josserand, Polytech’Orléans.
Roux-Capron, Aubazac et Jesset 2015.
Jesset, Alix et Courtois à paraître ; Joyeux et Guillemard 2013, p. 17.
Jesset, Alix et Courtois à paraître ; Joyeux et Guillemard 2012, p. 872 ; Joyeux et Guillemard 2013, p. 17.
Mentionné dans une charte de donation de Robert le Pieux, un mur de l’édifice a été daté du début du xie siècle dans Jesset, Alix et Courtois à paraître.
Ibid. ; Roux, Alix et Courtois 2012, p. 21 ; Joyeux et Guillemard 2013, p. 19.
Roux-Capron, Alix, André et al. 2014, p. 111.
Alix 2007, p. 126-129 ; Roux-Capron, Alix, André et al. 2014, p. 111.
Joyeux et Guillemard 2013, p. 19.
AD Loiret A 566, cité dans Perseval 2002, p. 29.
AD Loiret D 544, original perdu cité dans Bloch et Soyer 1917, p. 215.
Mention d’un four sis in vico Fabrateria (rue de la Faverie, signifiant fèvrerie). La rue correspond à un tronçon à l’ouest de l’actuelle rue de Bourgogne. AD Loiret D 371, fol. 41v document disparu cité dans Bloch et Soyer 1917 p. 164.
Ibid.
« In Martreio Aurelianensis (…) in domui in qua solebant tradi signebat granorum » cité dans Vignat 1886, p. 18.
AN, JJ41 fol. 20v. On a vu que Rémi, panetier du roi, était déjà possessionné dans ce quartier dès 1248. Correspond à une partie de l’actuelle rue du Tabour.
Bloch et Soyer 1917, p. 164 citent AD Loiret D 371 fol. 41v.
Fawtier et Maillard 1953, p. 265-266. Partie sud de l’actuelle rue Sainte-Catherine.
Bloch et Soyer 1917, AD Loiret D 658, fol. 4.
Ibid. Partie nord de l’actuelle rue Sainte-Catherine.
Ibid. p. 164 AD Loiret, D 371. Actuelle rue de l’Écu-d’Or.
Ibid. D 371, fol. 204. Partie de l’actuelle rue du Cheval-Rouge.
AN, R4*401, fol. 29.
Carron 2012, p. 61.
Joyeux et Guillemard 2012, p. 604 ; Joyeux et Guillemard 2013, p. 19.
AD Loiret H 205 : « domus apud portam Bernerii », cité dans Jarry 1919, p. 231 ; rapporte la donation et la vente à la maladrerie de Saint-Ladre d’une moitié de maison près de la Porte Bernier.
À propos d’acquisitions faites avant 1246 par Rémi, l’un des panetiers du roi, et son épouse de biens fonciers « apud Aurelianum, juxtam porta qui dicitur Porta Bernier » dans Merlet et Jarry 1896, p. 135.
Censier du prieuré de Saint-Samson (AD Loiret A 201 disparu) publié dans Bloch et Soyer 1917.
Michaud-Fréjaville 1987, p. 9-10.
Faucherre 1998, p. 188-198 ; Salamagne 2001, p. 67-70 ; Salamagne 2002, p. 14-20, 79-80.
Michaud-Fréjaville 1987, p. 10.
Voir par exemple le cas de Rosheim (Bas-Rhin) dans Ferraresso et Werlé 2008, p. 420.
AD Loiret A 1923, fol. 2. Il est possible que l’espace occupé par l’hôtel du Heaume, dans l’angle de l’enceinte et à proximité de la courtine, corresponde à une ancienne cour seigneuriale.
Le faubourg oriental de la ville, marqué par la présence de grands établissements religieux, comme le chapitre de Saint-Aignan et l’abbaye de Saint-Euverte, n’a été protégé par une enceinte que dans les années 1466-1480.
S’appuyant sur un édit de Philippe IV de 1302 érigeant les charges des douze notaires correspondant aux douze quartiers de la ville, J. Debal estime que l’agrandissement territorial est réalisé à cette date et que les travaux de l’enceinte sont menés « vraisemblablement entre 1300 et 1330 » (Debal 1982, p. 24). Selon F. Michaud-Fréjaville, ces travaux ont lieu « très vraisemblablement entre 1356 et 1360 », datation qui rejoint celle de P. Contamine, pour qui l’enceinte maçonnée est postérieure à 1356 (Michaud-Fréjaville 1982, p. 12 ; Contamine 1999, p. 336). Les fouilles récentes de la place De Gaulle indiqueraient, quant à elles, que la maçonnerie a été réalisée à la charnière des xiiie et xive siècles (Joyeux et Guillemard 2013, p. 20).
Roux-Capron, Alix, André et al. 2014, p. 115.
Debal 1982, p. 24 ; Michaud-Fréjaville 1982, p. 14-15.
Les modes de construction des fondations semblent également avoir fortement varié en fonction des fronts de l’enceinte. Ainsi, elles sont larges de 2,60 m à 2,80 m place De Gaulle et rue Jeanne d’Arc (Joyeux et Guillemard 2013, p. 20). En revanche, les observations réalisées en 1974 par J.-F. Baratin lors des travaux de construction du parking rue du Cloître-Saint-Paul indiquent que la fondation du mur présente des dimensions très importantes : une épaisseur d’environ 4,20 m pour une profondeur d’une dizaine de mètres (AD Loiret, 563 J 1 ; musée historique et archéologique de l’Orléanais, fonds Hamel).
Joyeux et Guillemard 2012, p. 259 ; Roux-Capron, Alix, André et al. 2014, p. 116.
Trois fentes de tirs dans le parapet du chemin de ronde au no 20 rue Saint-Étienne et une autre dans l’usine Dessaux rue Saint-Flou.
Debal 1982, p. 34-46.
On peut citer, entre autres travaux, le dallage du chemin de ronde en 1401-1403, AD Loiret, CC 539, fol. 32 ; la réfection partielle entre la porte Bannier et la tour Michaud Quanteau en 1403, AD Loiret, CC 540, fol. 8 ; en 1425 pour l’entretien des garde-fous, CC 549 fol. 17, 18 et 18v ; les travaux de maçonnerie sur le tronçon en 1463 entre la tour nord de la porte Bannier et la tour Saint-Samson, AD Loiret, CC 559.
Roux-Capron, Alix, André et al. 2014, p. 113. Roux-Capron 2015.
Mesqui 1987, p. 112-113.
Roux-Capron, Alix, André et al. 2014, p. 114, fig. 34.
Photographie Drac Centre ; publiée dans Joyeux et Guillemard 2012, p. 623, vol. 2, fig. 593. Sur ce document, se distingue également une pierre taillée avec un glacis ; elle pourrait correspondre à l’appui plongeant d’une fente d’archère.
Joyeux et Guillemard 2013, p. 20.
Salamagne 2002, p. 86. Par exemple, Tours au xive siècle dans Toulier 1974, p. 351 ; portes du xiiie siècle de l’enceinte de Château-Thierry dans Blary 2013, p. 258-271 ; portes à deux tours fréquentes en Lorraine, Henigfeld et Masquilier 2008 et Henigfeld et Masquilier (éd.) 2008 mais absentes en Alsace dans Ferraresso et Werlé 2008, p. 408-409.
AD Loiret, CC5 37 fol. 9v.
Michaud-Fréjaville 2006.
AD Loiret CC 537 fol. 14-15.
Des couvertures en ardoise sont attestées à la porte Renard en 1419 : 17 février 1419 : « pour couvrir en lattes la loge aux portiers de la porte Renart. 6 000 clous à ardoises et 1 500 clous à lattes pour ladite loge. (…) 1 000 ardoises achetés à Jean de Sencerre », AD Loiret, CC 546 fol. 59v.
Leduc 1967, p. 64, 123.
AD Loiret, CC 537 fol. 9v et fol. 15v ; Michaud-Fréjaville 1982.
Michaud-Fréjaville 1987, p. 11.
Ibid.
La herse de la porte Bannier est notamment évoquée en 1411 en même temps que celle de la porte Renard, « 6 poulies de bois pour les herses des portes Renart et Bannier » : AD Loiret, CC 542 fol. 21.
Mesqui 1981a, p. 207.
Elle serait d’environ 8,50 m en surface d’après les observations réalisées en 1985 dans la rue Royale au sud du chantier (Petit 1986, p. 9), mettant au jour un pan de mur (orienté nord-sud). Néanmoins, il reste difficile de confirmer si ce dernier correspondait véritablement à la limite occidentale de l’avant-corps ou s’il dépendait plutôt de la porte. La maçonnerie que nous interprétons comme la base de la tour orientale de la porte invite plutôt à réduire la largeur de l’avant-corps.
Joyeux et Guillemard 2012, p. 332-33, vol. 3 ; AD Loiret, CC 564, fol. 60v.
Au rang inférieur, ces trous sont espacés d’1,60 m et d’1,69 m. Leurs ouvertures mesurent respectivement, d’ouest en est : l. : 25 cm, h. : 20 cm ; l. : 18 cm, h. : 21 cm et l. : 19 cm, h. : 21 cm.
Michaud-Fréjaville 1987, p. 11.
En 1409, AD Loiret CC 542, fol. 15v ; en 1411, CC 543, fol. 3 et 46 ; en 1412, CC 543, fol. 2 et 2v.
AD Loiret, CC 537 fol. 12v.
Mesqui 1981b, p. 25.
À Tours, le terme de « berge » [pour verge ?] désigne les flèches des pont-levis du pont de la ville (Boisseuil 1992, p. 59, 82).
Mesqui 1991, p. 340 ; Salamagne 2002, p. 87.
Mesqui 1991, p. 341, fig. 425.
Laffont 2011, p. 186, 206, 384, 394.
Joyeux et Guillemard 2013, p. 21-22, 24.
Joyeux et Guillemard 2012, p. 618, 670-683.
À la porte Renard, l’étude conjointe de la stratigraphie et des sources écrites ne permet pas de mettre en corrélation la chronologie de l’installation de l’avant-corps et de la culée avec l’aménagement et les transformations du boulevard (Ibid., p. 670, 861).
La surface occupée par l’avant-corps de la porte Renard était de 41 m2, tandis que celle de l’avant-corps de la porte Bannier devait mesurer presque le double. La portée du pont-levis est de 3,35 m à la porte Renard (avant renforcement de la culée de contrescarpe) contre 5 m à la porte Renard.
Il est question en 1420 d’une « rente pour une place aux faubourgs de la porte Bernier d’Orléans en laquelle souloit être le lieu aux béguines contenant un arpent de terre ou environ tenant aux petits fossés en allant de la porte Bernier aux cordeliers d’Orléans » (AN, R4*323 comptes de la recette, fol. 2v). La maison occupée par les béguines hors les murs était en construction en 1408 – voir le compte du domaine AN, R4*322 – elles avaient auparavant été installée près du Châtelet par Louis IX (Miller 2014, p. 150).
Dubant 2007, p. 301. À Tours, le fossé était doublé par un second fossé, plus étroit ; ils étaient appelés respectivement « fossé » et « rerefossé », dans Yvernault 2007, p. 402.
Bontrond 2015, p. 85, 89.
Van Ossel 1998, 147-148 ; Faucherre 1998, p. 195-198.
Joyeux et Guillemard 2013, p. 20.
Documents inédits sur les observations lors de la construction du parking rue du Cloître-Saint-Paul, sur lesquels sont figurés et photographiés les deux fossés (AD Loiret, 563 J 1 ; musée historique et archéologique de l’Orléanais, fonds Hamel).
Faucherre et Bethe 2013, p. 126-130.
En 1383 « paiement d’une petite bauche en pavé faite sous la barrière de la Porte Bernier », AD Loiret, A2131 original disparu, cité dans Doinel 1886, p. 72.
« Deux soliveaux placés au travers du passage, reliés entre eux par des liens de fer verticaux » ; Leduc 1967, p. 36 ; Michaud-Fréjaville 1987, p. 11.
Sur les origines, les questions de terminologies et de typologies des ouvrages avancés des portes : Salamagne 1986 ; Faucherre 1989 ; Mesqui 1991, p. 352-361.
À titre de comparaison, la fouille récente de la porte de Mars de l’enceinte urbaine de Reims a montré qu’une première barbacane en bois aurait été édifiée vers le milieu du xive siècle (Bontrond 2015, p. 88-89).
AD Loiret, CC 537 fol. 16v.
Michaud-Fréjaville 1987, p. 11.
Michaud-Fréjaville 1991, p. 25.
Salamagne 2002, p. 88.
AD Loiret, CC 546, fol. 13v, 16 et 17.
AD Loiret, CC 546, fol. 45, fol. 50.
AD Loiret, CC 546, fol. 42 et 42v.
Buzonnière 1849, voir la pl. 62 dessinée par C. Pensée.
Dans le compte de 1411-1413, il est mentionné des fenêtres neuves et 36 mantelets, plus de 63 mantelets pour les « maschecoulis sur la rivière » (CC 543, fol 3 et 3v), et 44 mantelets pour les mâchicoulis de la rivière (CC 543, fol. 18v). Entre 1415 et 1421, il s’agit de 129 mantelets autour de la ville (CC 545 fol. 9v ; CC 548, fol. 28).
AD Loiret, CC 546, fol. 11v et 12.
Au moins 955 journées de travail de terrassement ont été rémunérées entre 1411 et 1418 à des pionniers eux-mêmes chargés de coordonner des équipes de civils requis pour cette tâche, AD Loiret CC 542 à 546.
Michaud-Fréjaville 2005, p. 16.
Ley 1989, p. 12, annexes.
AD Loiret, CC549, fol. 26 et 27.
Salamagne 1986, p. 407.
Un des premiers exemples serait attesté en 1407 à Barbençon en Belgique ; Ibid., p. 405-407.
Contamine 1999.
AD Loiret, CC546 fol. 34v.
Salamagne 1986, p. 418.
Salamagne 2001, p. 33, 85.
AD Loiret, CC 547, fol. 56v.
20 mars 1419, CC 546, fol. 65 : « (…) pour 3 journées qu’il [Robin de Saint-Mesmin] a esté en la forêt pour visiter la vente ou l’en prend les pelz de quoi ont été faits les boulouart » ; en février 1418 « don du boys que Monseigneur de Vertuz [Philippe de Vertu (1399-1420) second fils de Louis d’Orléans] a donné à la ville pour faire les boulouars », CC 546 fol. 32 cité dans Michaud-Fréjaville 2005, p. 96.
Les chevilles de fer désignent ici de gros clous permettant ou renforçant l’assemblage des pièces de bois. Leur rôle s’apparente à celui de tirefonds mais dont les tiges ne seraient évidemment pas filetées.
Boisseuil 1992, p. 83.
Exemples des boulevards des portes de Douai et de Rennes dans : Salamagne 1986, p. 416 ; Salamagne 2001, p. 33-34.
AD Loiret, CC 547 fol. 44.
Faucherre 1998, p. 198.
AD Loiret, CC546 fol. 59.
Carron et Guillemard 2011, p. 77-79 ; Joyeux et Guillemard 2012, p. 648-669, vol. 2.
Nombreux exemples dans : Salamagne 1993, p. 177-187 ; Mesqui 1991, p. 357.
Baudry 2011, p. 185. Ce type de plan se distingue donc des ouvrages quadrangulaires (château de Caen par exemple : Marino, Scipioni 1999) et surtout polygonaux, également nombreux à cette époque. Pour s’en tenir à quelques exemples d’enceintes urbaines de la moitié nord de la France ayant fait l’objet d’une étude récente, citons : la porte des Allemands à Metz (Corvisier 1995, p. 557-560 ; Kuchler 1999), la porte de Mars à Reims (Bontrond 2015), la porte Guillaume à Chartres (Acheré 2015, p. 2), la porte de Laon à Coucy, où la barbacane pentagonale reconstruite entre 1480-1520 est probablement héritée de l’ouvrage antérieur (Faucherre, Sautereau 1994, p. 279).
AD Loiret, CC 547, fol. 29v, fol. 30v et fol. 31.
Roux-Capron, Alix, André et al. 2014, p. 60-61 et fig. 16.
« (…) pont du boulouart de la porte Bannier pour arrester les crestes du pont leveis », AD Loiret, CC 560, fol. 90, 2v.
AD Loiret, CC 560, fol. 126, 5 et CC 561, fol. 39, 2v.
Grimbert 2002, p. 129, fig. 5.
Joyeux et Guillemard 2013, p. 23.
Salamagne 1986, p. 418 ; Salamagne 2001, p. 33 et 85.
Grimbert 2002, p. 147.
Carron et Guillemard 2011, p. 77.
Salamagne 1986, p. 418-420.
Pflug 2010.
Salamagne 1986, p. 421.
Loppe 2010, p. 118.
Faucherre 1998, p. 187.
En 1420, AD Loiret, CC 547, fol. 8v ; en 1426, CC 549, fol. 24.
Contamine 1999, p. 343.
Charpentier et Cuissard 1896, p. 14-15.
Ibid., p. 26.
Ibid., p. 30.
Ibid., p. 55.
Les photographies de 1986 montrent les tiges de ces tirants prises dans la maçonnerie sur la face orientale de l’arche, qui avait été arrachée au niveau de la clef lors du creusement du chantier. Leurs têtes rectangulaires ont été observées sur les claveaux en parement de l’arc occidental.
La maçonnerie mentionnée lors de ces travaux (pierres et chaux) doit servir à construire un radier de soutien au fond du fossé comme le suggère sa situation « soubz le chevallet », AD Loiret, CC 549, fol. 15 et 15v. Les couches de matériaux (mortier et pierre) observées au fond du fossé sur le substrat correspondent peut-être à ce radier (Roux-Capron, Alix, André et al. 2014, p. 62).
AD Loiret, CC 551, fol. 13 et 13v.
AD Loiret, CC 554, fol. 20.
AD Loiret, CC 550 fol. 38v.
AD Loiret, CC 553 fol. 22.
Ce phénomène de reconstruction des boulevards semble fréquent dans le royaume à partir des années 1430 : Salamagne 1986, p. 420-421.
AD Loiret, CC 555 fol. 21 et 38v.
AD Loiret, CC 555 fol. 48v et 49.
AD Loiret, CC 556 fol. 62v et 63. Il s’agissait de réemployer méthodiquement le matériau disponible pour non seulement réduire les coûts liés à l’extraction mais aussi la durée du transport.
AD Loiret, CC 555 fol. 48v et CC 556 fol. 58v.
AD Loiret, CC 555 fol. 63.
Voir AD Loiret CC 554 à 556.
Il s’agit d’importants travaux où la part de maçonnerie s’élève à plus de 58 % de l’investissement, alors que ce poste budgétaire ne représentait que 7 % du premier boulevard (Carron et Guillemard 2011, p. 79).
En comparaison, le mur de la courtine de la barbacane de la porte Guillaume est épais de 2,50 m côté faubourg contre 0,90 m du côté de la ville (Acheré 2015, p. 9, 12) ; celui de la courtine ouest du boulevard de la porte Mordelaise de Rennes, reconstruit en 1464, est épais de 3 m (Baudry 2011, p. 185).
Roux-Capron, Alix, André et al. 2014, p. 358-367, vol. 3.
160 mentions, dont 147 concernent exclusivement la porte Bannier et son boulevard.
AD Loiret, CC 560, fol. 98v (1467-1468) ; CC 560, fol.108v (1474).
AD Loiret, CC 560, fol.79v ; CC 562, fol.103.
AD Loiret, CC 560, fol. 98v; CC 561, fol. 57v ; CC 562, fol.117.
AD Loiret, CC 560, fol. 95 ; CC 561, fol. 56.
AD Loiret, CC 562, fol. 117.
AD Loiret, CC 560, fol. 81v et fol. 97.
AD Loiret, CC 560, fol. 62v
AD Loiret, CC 560, fol. 74v ; CC 562, fol. 120 ; CC 564, fol. 70v.
AD Loiret, CC 560, fol. 39v ; fol. 75 ; fol. 90v, fol. 126 et CC 561, fol. 39v, 46, 47v et 54 ; CC 563, fol. 44v.
AD Loiret, CC 561, fol. 58.
AD Loiret, CC 560, fol. 88v et fol. 90v.
AD Loiret, CC 560, fol. 64v et CC 561, fol. 37 ; fol. 37 ; fol. 64v ; fol. 32.
Roux-Capron, Alix, André et al. 2014, p. 62.
La céramique des fossés de l’enceinte n’a pas fait l’objet d’un examen détaillé en 1986. L’ensemble des lots a été vu et daté en 2013 par Sébastien Jesset (pôle d’archéologie, ville d’Orléans).
Les dépouillements de F. Ley étant incomplets pour la période 1449-1467 (Ley 1989), l’absence de ligne concernant l’entretien des fossés ne signifie pas nécessairement l’absence de paiement dans les comptes qu’il faudrait consulter avec acribie.
Alix, Durandière 2004, p. 11-14.
BM Orléans ms. 587, p.195 ; 1er octobre 1493.
AD Loiret, CC 565, fol. 15v.
Roux-Capron, Alix, André et al. 2014, p. 98, fig. 118.
Ibid., p. 102 ; AD Loiret, 2J 257, fol. 13, en ligne sur http://aurelia.orleans.fr/iconographie.
BM Orléans Res. ZH 12, 1575 et 15, 1581 dans Ibid., p. 134.
Alix et Durandière 2004, p. 21.
L’enceinte constituait un élément structurant majeur du paysage urbain mais ne semblait pas être perçue uniquement comme un édifice défensif, puisque sa porte permettait d’entretenir des rapports multiformes avec le monde du faubourg (Henigfeld, Masquillier 2008 p. 39).
Sur l’analyse du rythme de la croissance urbaine aux abords des portes d’enceintes : Noizet, Lallau 2013, p. 117.
Roux-Capron, Alix, André et al. 2014, p. 89.
AD Loiret, CC 542, fol. 23.
Roux-Capron, Alix, André et al. 2014, p. 74.
Philippe à paraître ; Thibault 1998.
Vidier et Mirot (éd.) 1909, p. 48, 64 note f et p. 80 et BM Orléans, E 4264, II, fol. 127.
Jarry 1909, p. 1.
AD Loiret, A 1923, 2e cahier fol. 2. D’après les généalogies du chanoine Hubert, Perrin Sevin dont la profession n’est pas mentionnée, était le fils de Pinot Sevin laboureur à Rouvray-Sainte-Croix connu en 1396 et le père de Jean Sevin qualifié de bourgeois d’Orléans ayant acquis en 1447 la terre de Vilnet, aujourd’hui commune de Le Blanc dans l’Indre (BM Orléans, E 4264 ; vol. II, fol. 271 et sq.).
Lardin 2007.
Miéjac 1990 ; étude de V. Montembault dans Roux-Capron, Alix, André et al. 2014, p. 229, vol. 2.
Koch, Kraemer 2008, p. 445.
Des dépotoirs sont attestés aux abords des enceintes ou de leurs fossés à Compiègne et à Colmar, à partir de 1470, ou dans le fossé lui-même à Chambéry (Leguay 1999, p. 64).
AD Loiret, 3E 10184, 27 juin 1468 cité dans Petit 1988, p. 91.
AD Loiret, 3E 10234, 1er juin 1484 cité dans Petit 1986, p. 44.
Petit 1986.
Faucherre 1998, p. 197.
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