Résumés
Termez est un point de convergence entre les influences venues des steppes de l’Asie centrale et celles du monde iranien. Les travaux de terrain effectués depuis 1937 ont ainsi montré l’étendue chronologique et spatiale de l’occupation du site. Mais une ville de plus de 500 hectares conserve encore bien des interrogations. Cette présentation de la céramique issue des fouilles de la MAFOUZ de Bactriane tente de les estomper en embrassant en quelques pages plus de vingt siècles d’existence, mettant en valeur à la fois les périodes antiques et médiévales.
Termez is a point of convergence between influences coming from the steppes of Central Asia and those of the Iranian world. The field work since 1937 thus showed the chronological and spatial extent of occupation of the site. But a city of more than 500 hectares keeps some questioning. This presentation of the ceramics of the MAFOUZ of Bactria tries to shade off them grouping together twenty centuries, emphasizing at the same time the antique and medieval periods.
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Texte intégral
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Pour citer cet article
Référence papier
Jean-Baptiste Houal et Sterenn Le Maguer, « La céramique de Termez des époques antique et médiévale », Cahiers d’Asie centrale, 21/22 | 2013, 423-442.
Référence électronique
Jean-Baptiste Houal et Sterenn Le Maguer, « La céramique de Termez des époques antique et médiévale », Cahiers d’Asie centrale [En ligne], 21/22 | 2013, mis en ligne le 30 septembre 2014, consulté le 19 juin 2025. URL : http://journals.openedition.org/asiecentrale/1962
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Auteurs
Jean-Baptiste Houal est ingénieur de recherche au CNRS-UMR 8546. Il a travaillé entre 1993 et 2008 en Ouzbékistan au sein de la Mission franco-ouzbèque de Bactriane dans le cadre de la fouille et de l’étude du matériel céramique des périodes antique et médiévale de Termez et Khaitabad. Il organise aujourd’hui en particulier l’étude et la publication du matériel céramique de Balkh depuis 2011 et favorise la mise en place d’un corpus sur l’ensemble de la région à partir de travaux en cours (Merv, Nepe Narenj à Kabul, Mess Aynak). houal@ens.fr
Sterenn Le Maguer est doctorante en archéologie islamique à l’Université Paris I. Son sujet traite du commerce de l’encens en péninsule Arabique entre les IVème et XVème siècles de notre ère. Dans le cadre de ses recherches, elle a participé aux travaux de fouilles et l’étude du matériel céramique et en chlorite des diverses missions archéologiques en Ouzbékistan, aux Émirats Arabes Unis, en Oman, au Yémen et au Koweït. sterenn.lemaguer@gmail.com
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Droits d’auteur
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