Notes
Pour l’organisation et le déroulement des séjours sous le Second Empire, voir le catalogue d’exposition Napoléon III et Eugénie reçoivent à Fontainebleau… 2011.
Pour la décoration du salon, voir Samoyault-Verlet 1977.
Samoyault 1974.
Samoyault 2004, p. 94-95, no 25.
Chevallier 1996, p. 69-70, no 42.
Ils furent envoyés dans la tribune de la chapelle, tandis que le paravent et l’écran gagnèrent les magasins.
Samoyault-Verlet 1969, p. 232.
Samoyault 2004, p. 363, no 300.
Les archives de la régie du château de Fontainebleau (ci-dessous ARF) conservent plusieurs autorisations de photographier pour cette année, pièces 16119, 16206, 16278 et 16337.
Paris, Archives nationales (ci-dessous AN), AJ19 1041, no 929 ; AJ19 696, no 16696. Ces documents ont été rédigés en 1858, mais l’un précise qu’il s’agit d’une régularisation pour l’année 1856.
Ibid., AJ19 1045, no 5450 ; AJ19 342, no 21993 ; AJ19 690, no 14297 ; AJ19 1049, no 14297.
Canapé de 1,60 mètre, Paris, Mobilier national, GMT 24062 ; canapé (ou causeuse) de 1,20 mètre, ibid., GMT 21269. Condamy 2008, p. 146, fig. 61 et p. 144, fig. 59.
Condamy 2008, p. 147, fig. 62. Objet non vu. Selon les catalogues de vente, porte les marques au pochoir « 25152 » (entrée dans les magasins de 1825) et « 23534 » (entrée dans les magasins de 1830), une étiquette « 308 » et la marque au fer « EC » accompagnée de trois fleurs de lys couronnées dans un ovale.
Paris, Mobilier national, GMT 1402/1 et GMT 1402/2, Condamy 2008, p. 145, fig. 60. Objets non vus. Selon les fiches du Mobilier national, l’un et l’autre portent l’estampille de Jean-Baptiste Boulard, une étiquette « 241 » et des numéros d’entrée sous la Troisième République.
Londres, Sotheby’s, 24-25 nov. 1988, no 109. Non estampillées, mais vraisemblablement pourvues de marques à la lecture de la notice du catalogue de vente.
Pour le fauteuil du Louvre (OA 5215), Condamy 2008, repr. p. 308 ; porte les marques au pochoir « 251[5]4 » (entrée dans les magasins de 1825), « 23536 » (entrée dans les magasins de 1830), « GMTT 1177 » (Garde-Meuble, 1894) et « MR R » (non déterminée), une étiquette devenue illisible et la marque au fer « EC » accompagnée de trois fleurs de lys couronnées dans un ovale. Les cinq autres fauteuils, non vus, Londres, Christie’s, 11 juin 1992, no 36. Portent tous la marque au fer des trois fleurs de lys couronnées dans un ovale, trois la marque au pochoir « 23154 » (lue de manière erronée « 25184 »), deux des restes d’étiquette et un une étiquette « 310 », l’un une marque peinte sur les sangles du « 4?9 », et un autre des traces de marques sur les sangles. Deux autres fauteuils du même modèle et du même menuisier, et pour lesquels il n’est pas précisé la présence de marque, sont passés en vente à l’hôtel Drouot, 8 avril 1993, no 191.
AN, AJ19 1202, nos 2485 à 2488 et nos 2549-2550.
Ibid., AJ19 607, nos 4741 à 4744 et nos 4746-4747.
Ibid., AJ19 610, nos 6349 à 6352 ; AJ19 1202, nos 4104 à 4107.
Ibid., AJ19 607, nos 4741 et 4742.
Ibid., AJ19 619, nos 25152 à 25156.
Ibid., AJ19 370, nos 289 à 291 ; AJ19 622, nos 23534 à 23542.
Ibid., AJ19 624, nos 1882 à 1885.
Ibid., O2 711, O2 712.
L’ameublement des Écuries de Paris fut considérablement enrichi sous la Restauration avec, en particulier, le remploi de meubles provenant de divers lieux comme Laeken, les Invalides, Villiers, Le Raincy, Mousseau, Bagatelle ou Meudon, AN, O2 595 et O2 596. C’est là qu’échut, de 1814 à 1824, l’ancien mobilier du boudoir de Marie-Antoinette à Fontainebleau retiré de Saint-Cloud. Carlier 2006, p. 46.
ARF, pièce no 14426 (registre 31), lettre no 916.
Ibid., lettre no 928.
Pour le meuble Vaudreuil aujourd’hui divisé entre le château de Fontainebleau (deux fauteuils) et le Mobilier national, voir Verlet 1945, p. 112-114, no 39. Pour les six chaises de 1806 aujourd’hui conservées au Mobilier national (F 263), voir AN, O2 665, dossier 1, pièces nos 56, 60 et 68. Elles sont mentionnées par Samoyault 1985, p. 205, note 54.
Les deux tabourets de pied sont conservés à Fontainebleau : un par dépôt du Mobilier national (GME 1692) et l’autre racheté en 1996 (F 1996.4), voir Revue du Louvre, la revue des musées de France, 1997-4, p. 87. Portent tous deux les marques au pochoir : « F 71/2 » (inventaire de Fontainebleau, 1817), « F 319 » (inventaire de Fontainebleau, 1832), « F 304 » (inventaire de Fontainebleau, 1850), « F 265 » (inventaire de Fontainebleau, 1855) et la marque au fer « Fon » accompagnée de trois fleurs de lys couronnées dans un ovale.
S 574. Porte les marques au pochoir : « St C 957[5] » (entrée Saint-Cloud, 1825), « St C 1975 » (inventaire de Saint-Cloud, 1828), « St C 522 » (inventaire de Saint-Cloud, 1833), « S C 475 » (inventaire de Saint-Cloud, 1843), « St C 12372 » (inventaire de Saint-Cloud, 1850 ?), « 2115 » (non déterminé), « F 265 » (inventaire de Fontainebleau, 1855). Les ornements de ce tabouret n’ont pas été sculptés dans la masse du bois mais obtenus par estampage sur plâtre rapporté sur le bois.
AN, O3 3082, no 9575 ; AJ19 307, no 1975 ; AJ19 318, no 522 ; AJ19 326, no 475.
Ibid., O2 665, dossier 1, pièces nos 56, 60 et 68.
Ibid., O2 605, no 425 ; O2 608, no 1849.
Ibid., AJ19 203, no 614 ; AJ19 212, no 656 ; AJ19 219, no 378 ; AJ19 689, no 13284. Les douze tabourets sont conservés au Mobilier national, GMT 1414/1 à 6 et GMT 20372/1 à 6.
Il s’agissait d’un « tapis en moquette velouté fond blanc dessin Louis XVI » remplacé en 1862 par un « tapis de pieds en Savonnerie encadré de bistre fond brun » datant du règne de Louis XIV.
ARF, pièce no 26061, feuille no 6 du 11 mai 1889.
Ibid., pièces no 17465, entretien des 1er et 2ème trimestres 1861 ; pièce no 14767, entretien des 3ème et 4ème trimestres 1861 ; pièce n° 17893, entretien du 1er trimestre 1862.
Nos 3960 à 3963 de l’inventaire de 1817, 4886 à 4889 de l’inventaire de 1832 et 4827 à 4830 de l’inventaire de 1850.
T 504 C à T 507 C. Entrés en 1867 pour le grand salon du Petit Trianon sous les numéros 6438 à 6441.
AN, O2 515, dossier 2, pièce 60 ; O2 518, dossier 3, pièce 52.
Ibid., O2 605, no 614. Ils sont signalés dans les magasins de l’hôtel de l’Architrésorier dans un inventaire dressé en 1806, O2 721, dossier 2, p. 45.
Dans son ouvrage, Lescure (s. d., p. 237) écrivait qu’ils faisaient partie « de l’ancienne dotation du palais de Fontainebleau sous Louis XVI, et sortaient également des magasins du Garde-Meuble de la Couronne ».
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