Bibliographie
Sources imprimées
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Études
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Dussieux Louis, Soulié Eudore, Chennevières Philippe de, Mantz Paul et Montaiglon Anatole de, 1854, Mémoires inédits sur la vie et les ouvrages des membres de l’Académie royale de peinture et de sculpture, Paris, J.-B. Dumoulin, 2 vol.
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Gréder Léon, 1904, « Un peintre parisien du xviie siècle : Jacques Rousseau (1631-1693) », Bulletin de la Société de l’histoire de Paris et de l’Île-de-France, no 31, p. 108-115.
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Haag Eugène et Émile, 1846-1859, La France protestante, ou Vies des protestants français qui se sont fait un nom dans l’histoire depuis les premiers temps de la réformation jusqu’à la reconnaissance du principe de la liberté des cultes par l’Assemblée nationale, Paris, Joël Cherbuliez, 10 vol.
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Waterhouse Ellis, 1978, Painting in Britain : 1530 to 1790, Harmondsworth, Penguin, 4e éd.
Catalogue d’exposition
Versailles, 2015 : Sarrazin Béatrice, Collange-Perugi Adeline et Gustin-Gomez Clémentine (dir.), 2015, Charles de La Fosse (1636-1716) : le triomphe de la couleur, cat. exp. (château de Versailles, 24 février-24 mai 2015 ; Nantes, musée des Beaux-Arts, 19 juin-20 septembre 2015), Paris, Somogy.
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Notes
Par exemple : Dussieux et al. 1854, t. II, p. 3, et Janneau 1965, p. 247.
Bergeret 2014 ; mes recherches sont néanmoins tributaires de trois articles fondateurs pour l’étude de cet artiste : Gréder 1904, Schnapper 1967 et Evans 1971.
Paris, bibliothèque du Protestantisme français, Ms 66 fo 111, publié dans Haag 1846-1859, t. IX, 1859, p. 49 ; de nombreux actes de notaires sont par ailleurs conservés concernant cette famille : Paris, Archives nationales (désormais AN), Minutier central, particulièrement dans les études des notaires Jules Malingre (étude XIII) et Jérôme Cousinet (étude LI).
Époux de sa sœur Suzanne ; voir Steland 2010.
Son séjour est documenté entre 1654 et 1656, voir Bousquet 1980, p. 184.
Procès-verbaux de l’Académie… 1875-1892, t. I, 1875, p. 194-195, et Dezallier d’Argenville 1745-1752, t. III, 1752, p. 225.
Œuvres conservées in situ : Paysage avec Hercule et Antée, Paysage avec les bœufs de Géryon, Paysage avec le sanglier d’Érymanthe, Paysage avec Hercule et Acheloüs et Paysage avec le repos d’Hercule.
Voir note 19.
Cette fresque, réalisée vers 1679, est connue par une gravure de Pérelle (Paris, Bibliothèque nationale de France – désormais BNF –, département des Manuscrits, Ms Rothschild 249, Veues des plus beaux lieux de France et d’Italie, fo 201).
Sur les fresques de Rousseau réalisées sur le pavillon de la Perspective à Marly, voir Bergeret 2013 et Bergeret 2015.
Cette fresque, réalisée vers 1685, est connue par un dessin de Rousseau (Londres, Victoria and Albert Museum, E. 302-1937), publié dans Evans 1966.
Procès-verbaux de l’Académie… 1875-1892, t. II, 1878, p. 197-198.
Ibid., t. II, 1878, p. 318-319.
Il est sur la liste des personnes sorties du royaume pour cause de religion, datée du 16 février 1687 : Paris, BNF, département des Manuscrits, Manuscrit Français 7051, fo 323.
Ce séjour est cité dans les biographies, notamment Buckridge 1706, p. 461, et attesté par une lettre de Christiaan Huygens à son frère, datée du 1er septembre 1687, évoquant sa rencontre avec Rousseau à La Haye : lettre 281 dans Ch. Huygens 1888-1950, t. IX, 1901, p. 208-209 ; citée dans Stephens 2011.
Gustin-Gomez 2006, t. I, p. 33.
Dezallier d’Argenville 1745-1752, t. III, 1752, p. 224.
Gustin-Gomez 2006, t. I, p. 40.
Paris, AN O1 1966, Inventaire des tableaux qui sont au pallais des Tuileries, par Antoine Paillet, vers 1695, et O1 1970, Inventaire des tableaux du Roy, par Nicolas Bailly, 1709-1710. Trois de ces œuvres ont été redécouvertes par Cécile Bouleau au musée des Beaux-Arts de Nancy : Armide déguisant un cadavre avec les armes de Renaud (Inv. 299), Renaud et Armide sur l’île enchantée (Inv. 298) et Renaud retenant la main d’Armide (Inv. 466), voir Bouleau 1993 ; Renaud endormi, Paysage avec un homme en rouge, Apollon et Hyacinthe ainsi que Paysage avec un tournesol demeurent perdus.
Gustin-Gomez 2006, t. I, p. 50-53, et Milovanovic 2005, p. 134-137.
Paris, AN O1 2147 fo 108vo et O1 2149 fo 95vo, publiés dans les Comptes des Bâtiments du roi 1881-1901, t. I, col. 1156 et 1280.
Gustin-Gomez 2006, t. I, p. 60.
Rousseau intervint au moment de l’agrandissement du domaine entre 1681 et 1703 (voir Gady 1998), mais il n’est pas cité par Germain Brice dans la première édition de son ouvrage en 1684, ce qui laisse penser que son intervention est postérieure à celle-ci (voir Brice 1687, t. I, p. 213-214).
Procès-verbaux de l’Académie…1875-1892, t. I, 1875, p. 194-195, et t. II, 1878, p. 149-150.
Gustin-Gomez 2006, t. I, p. 45-47.
Voir Procès-verbaux de l’Académie… 1875-1892, t. II, 1878 : 9 février 1678 (p. 128), 24 septembre 1678 (p. 138), 2 décembre 1679 (p. 157), 30 décembre 1679 (p. 158), 13 février 1680 (p. 162), 24 février 1680 (p. 163), 30 mars 1680 (p. 164), 31 août 1680 (p. 171), décembre 1680 (p. 176), 25 janvier 1681 (p. 181), 5 juillet 1681 (p. 192), 1er août 1681 (p. 194), 23 février 1686 (p. 320).
Cela correspond en partie à la fonction de garde-meuble du roi en France.
Voir Murdoch 1992a, p. 33-43, et Murdoch 1992b.
Voir Vincent-Rebichon 1948 ; une thèse consacrée à cet artiste a par ailleurs été soutenue par Claudia Salvi à l’université Aix-Marseille, sous la direction d’Olivier Bonfait, en décembre 2016.
Des éléments de fresques ont été vendus pour des prix dérisoires : voir Chancellor 1908, p. 86.
Anonyme 1814, p. 557-560.
Northampton, Northamptonshire Record Office, Montagu records, vol. 8 : lettre de Mme de Rit à son époux Élias de Rit, 9 mai 1690.
Anonyme 1814, p. 558-559, et Taylor 1809, vol. 5, col. 529.
Gustin-Gomez 2006, t. I, p. 69, et t. II, p. 66-67.
Anonyme 1814, p. 558 : « Two tier of windows, walls, and cieling, entirely painted, excepting the chimney-piece […] » (traduction V. Bergeret).
Anonyme 1814, p. 559.
Jacques Rousseau semble avoir travaillé à partir de gravures représentant des antiques célèbres, notamment celles figurant dans le recueil de François Perrier, Segmenta nobilium signorum et statuarum…, publié en 1638. On retrouve ce type de références à Marly ou encore à Saint-Cloud. Voir Bergeret 2015.
Perrier 1638, pl. 53 et pl. 62.
Vertue 1933-1934, vol. III, p. 23-24.
Northampton, Northamptonshire Record Office, Montagu records, vol. 8 : lettre de Mme de Rit à son époux Élias de Rit, 9 mai 1690.
Londres, British Museum : aquarelles de George Scharf, 1845, Inv. 1862,0614.631 et Inv. 1862,0614.629, et aquatinte d’Ackermann, 1808, Inv. I,8.126.
Gustin-Gomez 2006, t. I, p. 69, et t. II, p. 65-66.
Londres, Victoria and Albert Museum, E. 302-1937.
Mérot 2009, p. 611.
Anonyme 1814, p. 558.
Versailles, musée national des châteaux de Versailles et de Trianon, MV 8214, en collaboration avec Jean-Baptiste Blain de Fontenay et Charles-François Poerson.
Buckridge 1706, p. 461, et Dezallier d’Argenville 1745-1752, t. III, 1752, p. 225.
Letters of Denization… 1911-1923, t. I, 1911, p. 213. Il reçut sa « denization » le 19 août : un statut qui offrait un certain nombre de droits pour un étranger à Londres, proches de ceux des citoyens londoniens.
Gustin-Gomez 2006, t. I, p. 69.
Vertue 1931-1932, vol. II, p. 85.
Notice lue par Lépicié, voir Gréder 1904.
Il avait pour beau-frère l’architecte des Bâtiments du roi Jean du Ry (frère de Mathurin du Ry), époux de sa sœur Anne, qui put participer à sa formation dans ce domaine, tout comme l’avait fait son autre beau-frère, Herman Van Swanevelt, pour le domaine de la peinture.
Jackson-Stops 1980.
Il était notamment le parrain de l’une des sœurs de Daniel Marot, morte en bas âge : voir Haag 1846-1859, t. VII, 1857, p. 265.
Vertue 1931-1932, vol. II, p. 85.
Vertue 1931-1932, vol. II, p. 85.
Inventaire après décès de Ralph Montagu, 1709, publié dans Noble Households… 2006, p. 19 : « Roome next ye Stone Hall West End belowe :[…] 6 pces by Reusau […]. »
Buckridge 1706, p. 461 : « Many of his pictures may be seen at Hampton-Court over the doors ; but far greater numbers are at the duke of Montague’s in Bloomsbury » (« Plusieurs de ses œuvres peuvent être vues à Hampton Court en dessus-de-porte, mais elles sont en bien plus grand nombre chez le duc de Montagu à Bloomsbury » ; traduction V. Bergeret).
« Goods in Montagu House in 1707 », cité dans P. Masson, « The Picture Frames », dans Murdoch 1992a, p. 92 ; voir aussi Waterhouse 1978, p. 128.
Inventaire de Ditton en 1709 ; publié dans Noble Household… 2006, p. 79-85.
Dalkeith, Dalkeith Palace, MH 179 à MH 182 et trois sans numéro ; je remercie Mrs Tessa Murdoch, conservateur au Victoria and Albert Museum, de m’avoir signalé ces toiles. Malheureusement, les responsables de la collection Buccleuch n’ont pas autorisé la reproduction de ces œuvres dans cet article.
Dalkeith, Dalkeith Palace, MH 182.
Paysage classique avec Énée à Délos, peint par Claude Gellée dit Le Lorrain en 1672 : Londres, National Gallery, NG 1018.
Dalkeith, Dalkeith Palace, MH 180.
Perrier 1638, pl. 53 et pl. 81 : sur ce tableau, la Vénus est dans le sens de la gravure alors que l’Antinoüs reprend le sens de l’antique même.
Basildon Park, The Hiffe Collection – The National Trust, Inv. 266412-L/BAS/P/6 et Inv. L/BAS/P/5-266411 ; publiés dans Gustin-Gomez 2006, t. II, p. 98-100, et cat. exp. Versailles 2015, p. 182-185.
Vertue 1933-1934, vol. III, p. 23-24 : « Ces trois grands maîtres ont heureusement uni leurs pensées et leurs talents pour atteindre une grande perfection » (traduction V. Bergeret).
C. Huygens, 1876-1888, t. I, 1876, p. 365, 14 novembre 1690 : « He told me that one day we would go to the house of Lord Montagu to see the paintings by the French painter Rousseau » (« Il [le roi] me dit qu’un jour nous irions en la maison de Lord Montagu pour voir les peintures du peintre français Rousseau » [traduction V. Bergeret]), et ibid., t. I, 1876, p. 366, visite du 17 novembre 1690 ; cité dans Stephens 2011.
Londres, Hampton Court, OM 466, 467, 469 et 470.
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