Füssli et Turner : le « désapprentissage »
- Traduction(s) :
- Füssli and Turner: the “Disapprenticeship”
Texte intégral
1Les "Lectures" faites entre 1801 et 1823 par Johann Heinrich Füssli devant la Royal Academy où il avait été nommé professeur en 1799, ont exercé une grande influence sur les peintres - Flaxman, par exemple, compta parmi ses élèves. Souvent rééditées, ces douze conférences se rattachent à la tradition théorique classique. L’admiration que le père de Füssli portait aux tenants du classicisme, Mengs et Winckelmann, n’est sans doute pas étrangère à ce goût dominant. Son séjour de huit années à Rome et son admiration pour la sculpture romaine néo-attique qui s’y est exprimée, ont contribué à asseoir en lui la conviction que le dessin devait avoir la primeur sur la couleur et que l’expression était plus importante que le beau idéal. […]
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Pour citer cet article
Référence papier
Roland Recht, « Füssli et Turner : le « désapprentissage » », Critique d’art, 4 | 1994, 41-42.
Référence électronique
Roland Recht, « Füssli et Turner : le « désapprentissage » », Critique d’art [En ligne], 4 | Automne 1994, mis en ligne le 11 mai 2023, consulté le 18 juin 2025. URL : http://journals.openedition.org/critiquedart/104050 ; DOI : https://doi.org/10.4000/critiquedart.104050
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