Texte intégral
1L’art des années 1990 accorde une priorité aux représentations de pathologie, de sexualité, d’amour et de disparition, qui font le corps vivant ou mort. Il ne faut pourtant pas y déceler trop rapidement un nouvel expressionisme de l’image du corps ou, à l’inverse, une naïve revendication idéologique d’égalité sexuelle, sociale et sanitaire. Pour les jeunes artistes, toute la difficulté est de produire des œuvres qui résistent à l’intérieur des ordres de discours contemporains et […]
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Pour citer cet article
Référence papier
Larys Frogier, « Souffles du corps », Critique d’art, 7 | 1996, 75-77.
Référence électronique
Larys Frogier, « Souffles du corps », Critique d’art [En ligne], 7 | Printemps 1996, mis en ligne le 21 juin 2023, consulté le 16 juin 2025. URL : http://journals.openedition.org/critiquedart/104766 ; DOI : https://doi.org/10.4000/critiquedart.104766
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