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Les stations thermales secondaires en France aux XIXe et XXe siècles. Une autre histoire du thermalisme ?

Introduction au dossier « Les stations thermales secondaires en France aux xixe et xxe siècles. Une autre histoire du thermalisme ? »

Géraldine Baglin et Nicolas Meynen

Texte intégral

1Ce dossier, constitué de six articles, est le fruit du colloque éponyme qui s’est tenu le 18 septembre 2020 à la Maison de la Recherche de l’Université Toulouse - Jean Jaurès. Organisé par le laboratoire FRAMESPA (UMR CNRS - 5136), sous la direction de Géraldine Baglin et de Nicolas Meynen, il s’inscrit dans le cadre du programme de recherche européen « Thermalisme, Culture et Villégiature dans les Pyrénées » (FEDER TCV-PYR, 2017-2021)1, portant sur le patrimoine culturel thermal et de villégiature sur le versant français du massif. La nécessité de s’intéresser plus spécifiquement aux stations thermales secondaires s’est fait jour au fur et à mesure des nombreux temps d’échanges et des rencontres qui ont ponctué ces quatre années de recherche collaborative au cours desquelles la connaissance du phénomène thermal dans les Pyrénées s’est enrichie des travaux réalisés par une équipe de chercheurs pluridisciplinaires. Ce dossier éclaire le cas des stations qui n’ont pas eu le développement et la renommée des villes thermales consacrées nationalement, voire internationalement, par une clientèle prestigieuse à la recherche de mondanités plus que de santé.

Affiche du colloque du 18 septembre 2020 sur les stations secondaires

Affiche du colloque du 18 septembre 2020 sur les stations secondaires

© Conception graphique Benoît Colas, UT2J/CPRS-DAR

  • 2 Claude Mignot, « La Villégiature retrouvée : les réseaux de la recherche », In Situ [En ligne], n°  (...)
  • 3 Marie-Hélène Contal, Vittel 1854-1936 : création d’une ville thermale, Paris, Éd. du Moniteur, 1982
  • 4 Lise Grenier (dir.)., Villes d’eaux en France [exposition, Paris, École nationale supérieure des (...)
  • 5 Dominique Jarrassé, L’architecture thermale en France entre 1800 et 1850, thèse de Doctorat en Hist (...)
  • 6 Christian Jamot, Thermalisme et villes thermales en France, Clermont-Ferrand, Institut d’Études du (...)
  • 7 Bernard Toulier, Villes d’eaux : architecture publique des stations thermales et balnéaires, Paris, (...)
  • 8 Jérôme Pénez, L'alchimie thermale : eau, médecine et loisirs. Histoire du thermalisme en France au (...)
  • 9 John Scheid, Marilyn Nicoud, Didier Boisseuil et Joël Coste (dir.), Le thermalisme : approches hist (...)
  • 10 Esteban Castaner, Laurent Jalabert et Nicolas Meynen (dirs.), Thermalisme et patrimoines dans les z (...)
  • 11 Lise Grenier (dir.), Le voyage aux Pyrénées ou la route thermale, Saint-Girons, Randonnées pyrénéen (...)

2Les travaux fondateurs de la recherche scientifique sur le phénomène thermal, pourtant incontournable dans l’histoire de la société contemporaine, n’ont vraiment été réalisés qu’à partir des années 1980. Sous l’impulsion de Maurice Culot, alors directeur du Département « Archives, histoire et documentation » de l’Institut français d’Architecture (IFA)2, la première monographie d’une station thermale est publiée en 19823. Deux ans plus tard paraît le catalogue de l’exposition Les villes d’eaux en France, ouverte à Paris en janvier 19854. Cet ouvrage de synthèse constitue toujours une référence pour l’étude de l’architecture thermale. Ce thème est approfondi dès 1987 par Dominique Jarrassé dans le cadre de sa thèse de doctorat en histoire de l’art contemporain, qu’il consacre à l’architecture des établissements thermaux de la première moitié du xixe siècle5. Dans une moindre mesure que pour les stations balnéaires, les travaux scientifiques dans ce domaine se développent progressivement dans les années 1990 et 2000, donnant lieu à des publications majeures comme celles portées par l’Institut d’Études du Massif central en 1988 puis en 19966, qui témoignent du dynamisme de la recherche scientifique sur le thermalisme. Au début des années 2000, alors que les chercheurs de l’Inventaire général continuent d’enrichir l’historiographie de l’architecture thermale et de villégiature7, de jeunes universitaires entreprennent des études plus spécifiques en proposant des approches sociologique et économique du phénomène8. L’ouvrage collectif publié par le Centre national de la recherche scientifique en 2015 traduit quant à lui un intérêt toujours vif pour cette thématique9, ce qu’atteste aussi le programme TCV-PYR10. Cette historiographie révèle toutefois que le phénomène thermal est abordé majoritairement à partir des stations les plus réputées, qui sont souvent aussi les plus anciennes, et ce même dans le cadre d’approches régionales11.

3Ainsi, le présent dossier est-il né de ce constat. Les petites stations sont les grandes absentes de la production scientifique, alors même qu’elles occupaient numériquement une place importante dans la pratique thermale. Quatre raisons peuvent être avancées : leur moindre ampleur, possiblement leur éloignement des grands axes de circulation et leur notoriété toute relative, cumulés à des archives privées généralement ténues, les ont placées à un rang secondaire de la recherche.

  • 12 Olivier Faure, « Les petites stations thermales en France au xixe siècle : un autre thermalisme ? » (...)
  • 13 Ibid., p. 33.

4L’un des rares universitaires à s’y être intéressé est Olivier Faure en 199412. Comme le souligne ce professeur d’histoire contemporaine, « mises bout à bout, ces expériences souvent malheureuses mais sans cesse recommencées, finissent par représenter une part non négligeable des pratiques thermales13 ». L’analogie entre le titre de son article et celui choisi pour ce dossier n’est pas fortuite. Le terme « secondaire » renvoie littéralement à l’importance de second ordre qui est encore largement attribuée à ces stations. Loin de vouloir les cantonner à cette posture, l’ambition est au contraire de déterminer leur place dans l’histoire du thermalisme et de mettre au jour la diversité des formes urbaines et des pratiques auxquelles elles ont donné lieu. Dans cette perspective, l’expression « stations secondaires » permet d’inclure des sites de tailles variables, allant de la station de moyenne ampleur à la petite, voire à la minuscule qui se limite généralement à un établissement thermal familial faisant aussi office de pension.

5Au travers des études de cas issues du bassin midi pyrénéen d’abord, où ces stations paraissent particulièrement présentes, mais aussi de la Bourgogne et de la Lorraine, cinq articles réunis dans ce dossier nous font sortir des sentiers battus pour interroger l’histoire économique, sociale et architecturale de ces lieux de cure que leur faible envergure caractérise tant au xixe siècle qu’au xxe siècle. Cette approche comparative permet de définir un objet d’étude au rayonnement plus intime mais dont le rôle sanitaire et social pour la population de proximité apparaît en définitive majeur, d’en révéler la variété des trajectoires dans une logique de modestie de moyens qui n’interdit pas une quête de modernisation, et ainsi d’enrichir la connaissance du phénomène thermal par cet autre prisme. Ces stations secondaires sont-elles contemporaines des grandes villes d’eaux ? N’ont-elles pas bénéficié de la même conjonction de facteurs propices au succès, entre qualité des eaux, pittoresque du paysage ou fervent engagement de la communauté ? Quelles étaient leurs conditions d’accès ? Ont-elles souffert d’une position par trop excentrée dans le monde rural (éloignement géographique des grands centres, insuffisance des réseaux routiers et ferroviaires, etc.) ? Quels étaient leurs équipements ? Leur architecture et leur urbanisme présentent-ils des caractéristiques propres ? Disposaient-elles d’une offre de villégiature et dès lors pour quels publics ? Quel est le profil des propriétaires ? Leur capacité à investir ? Quel a été le rôle des pouvoirs publics dans leur développement ? Ce questionnement permet de comprendre les raisons intrinsèques de la fragilité de ces sites modestes et d’analyser leurs stratégies de survie (embouteillage, reconversion en centre de bien-être, en hôtellerie ou en habitation), en particulier lors des crises sectorielles du thermalisme et des conflits géopolitiques. Il révèle que la pratique des eaux n’est pas l’apanage des élites mais bien un remède pour le plus grand nombre, entretenu dans certains cas par de vieilles croyances guérisseuses.

6En s’appuyant sur un corpus de huit sites isolés des Pyrénées occidentales, Viviane Delpech propose une catégorisation des centres thermaux secondaires distinguant, d’une part, des établissements isolés, et, d’autre part, des micro-stations, dont elle étudie la chronologie et les spécificités de leur développement. Cette échelle caractérise une logique de modestie des moyens qui laisse peu de place à l’artifice et au superflu en matière d’architecture. La sobriété du programme, dicté par des préoccupations avant tout fonctionnelles, influe sur les partis-pris esthétiques des édifices où le vocabulaire néoclassique, pourtant dominant dans l’architecture thermale, est réduit à sa plus simple expression, quand il n’en est pas complètement absent.

7L’exemple du thermalisme gascon, traité par Anaïs Comet, prolonge cette analyse typologique en interrogeant l’existence de caractéristiques communes aux établissements ruraux, en matière d’usage des eaux et de développement des structures, dont le déclin s’amorce dès la fin du xixe siècle. Son étude de l’architecture révèle des établissements inscrits dans les poncifs du vernaculaire contemporain, où le bois est généralement utilisé en façade au niveau de la galerie extérieure du premier étage, qui dessert la partie hôtellerie lorsque celle-ci n’est pas située dans un bâtiment annexe. La mince documentation disponible révèle quelques auberges, des maisons à l’architecture simple et très peu de villas, qui complètent les équipements de ces stations au caractère confidentiel.

8En prenant appui sur ses recherches dans les Pyrénées centrales où le maillage thermal est dominé par de petits centres d’origine essentiellement privée, Géraldine Baglin apporte un éclairage sur l’histoire socioéconomique des lieux de cure modestes. À travers l’étude de six stations, elle interroge l’existence d’un modèle de développement sur le long terme depuis la fondation des premiers bains logés pour certains dans des baraquements jusqu’à leur remplacement par les premières constructions en dur, qualifiées de « maisons de bains », où se concentrent les fonctions embryonnaires d’une station. Si les aides publiques jouent un rôle déterminant dans leur trajectoire, de même que l’implication d’investisseurs, l’activité demeure cependant à une échelle intimiste où se jouent pourtant des sociabilités structurantes pour des territoires isolés.

9À l’échelle de la région Bourgogne-Franche-Comté, la classification proposée par Fabien Dufoulon – de même que les typologies qui en découlent – amène à relativiser la notion de station thermale secondaire en fonction du contexte local. L’absence de certains équipements, tels que le casino, tout comme l’emploi des références néoclassiques dans l’édification des constructions, permettent de distinguer différentes catégories. Les réalités de terrain constatées, extrêmement variées, sont liées à la qualité des liaisons avec les centres urbains proches d’où la clientèle est souvent originaire, au statut de l’établissement thermal, ou encore aux modes d’intervention des pouvoirs publics et des investisseurs. Le cas de Santenay-les-Bains apparaît alors emblématique des difficultés rencontrées par une petite station aux atouts pourtant prometteurs.

10Claire Guitton présente quant à elle une étude sur la station de Nancy-Thermal, dont l’ambitieux projet établi avant-guerre au début du xxe siècle entendait rivaliser avec les complexes thermaux vosgiens. Ces rêves de grandeur se sont finalement traduits par la création d’un centre secondaire dont la singularité relève de sa situation en marge du centre-ville de Nancy. Cet article donne ainsi à voir l’exemple d’un site thermal interrompu dans sa trajectoire urbanistique et architecturale mais dont l’activité dure depuis la Belle Époque. L’ambition du projet se perçoit dans les qualités architecturales de la grande piscine du parc et de l’édifice des thermes, les deux seules réalisations de ce vaste programme destiné à l’origine à une clientèle citadine aisée.

11Enfin, la sixième contribution, qui constitue la dernière partie de ce dossier, ouvre la connaissance du phénomène thermal à une nouvelle discipline du champ patrimonial : l’anthropologie. En restituant les propos tenus lors de la table ronde conclusive du colloque du 18 septembre 2020, l’article de Mathilde Lamothe met en évidence les enjeux scientifiques et méthodologiques d’une approche patrimoniale pluridisciplinaire du phénomène thermal. Il apporte la preuve que le patrimoine culturel immatériel est indispensable à la connaissance du patrimoine architectural et paysager auquel il donne une consistance sociale notamment par l’étude des expressions culturelles vivantes (pratiques communautaires). Cette démarche de croisement disciplinaire, fruit d’une lente maturation scientifique, a ouvert la voie à de nouvelles démarches d’inventaire et à une évolution des bases de données régionales et nationales pour intégrer les fiches du patrimoine culturel immatériel.

12La fragilité économique des stations secondaires a entraîné, dans bien des cas, la fermeture des établissements de soins, signe manifeste à leur échelle du déclin du thermalisme. Celui-ci a conduit à l’abandon ou à la reconversion du patrimoine thermal et de villégiature, et pour de nombreux sites à sa destruction. Dans ce contexte, ce dossier et plus largement le programme de recherche TCV-PYR permettent de documenter ce patrimoine, de l’étudier et d’en conserver la connaissance afin de sauvegarder la mémoire de l’ensemble des lieux, renommés ou non, qui ont participé à l’histoire du thermalisme.

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Notes

1 Pour plus d’informations, sur le programme de recherche FEDER TCV-PYR voir http://tcvpyr.iutbayonne.univ-pau.fr/.

2 Claude Mignot, « La Villégiature retrouvée : les réseaux de la recherche », In Situ [En ligne], n° 4, 2004, p. 2, mis en ligne le 1er mars 2004, consulté le 12 janvier 2021. URL : https://journals.openedition.org/insitu/11197.

3 Marie-Hélène Contal, Vittel 1854-1936 : création d’une ville thermale, Paris, Éd. du Moniteur, 1982.

4 Lise Grenier (dir.)., Villes d’eaux en France [exposition, Paris, École nationale supérieure des Beaux-Arts, 16 janvier-24 mars 1985], Paris, Institut français d’architecture, 1984.

5 Dominique Jarrassé, L’architecture thermale en France entre 1800 et 1850, thèse de Doctorat en Histoire de l’art sous la direction de Bernard Dorival puis de Bruno Foucart, U. Paris IV Sorbonne, 1987.

6 Christian Jamot, Thermalisme et villes thermales en France, Clermont-Ferrand, Institut d’Études du Massif central, 1988 ; Dominique Jarrassé (dir.), Villes d’eaux des Pyrénées occidentales : patrimoine et devenir, actes du colloque tenu à Salies-du-Béarn (Pyrénées-Atlantiques), Clermont-Ferrand, Institut d’Études du Massif central, 1996 ; Dominique Jarrassé (dir.), 2000 ans de thermalisme : économie, patrimoine, rites et pratiques, actes du colloque tenu en mars 1994 à Royat (Puy-de-Dôme), Clermont-Ferrand, Institut d’Études sur le Massif central, 1996.

7 Bernard Toulier, Villes d’eaux : architecture publique des stations thermales et balnéaires, Paris, Imprimerie nationale, 2002. Parmi les publications portées par les services régionaux de l’Inventaire, nous pouvons citer le récent ouvrage de Viviane Delpech, Stations thermales des Pyrénées béarnaises, Bordeaux, Éd. Le Festin, 2020, réalisé avec la Région Nouvelle-Aquitaine, et celui d’Alice de La Taille, Luchon thermal, une histoire des bains, Toulouse, Région Occitanie, Collection Focus Patrimoine n° 14, 2021, réalisés tous les deux dans le cadre du programme FEDER TCV-PYR.

8 Jérôme Pénez, L'alchimie thermale : eau, médecine et loisirs. Histoire du thermalisme en France au xixe siècle, thèse de Doctorat en Sociologie sous la direction d’André Gueslin, U. Paris 7, 2000 ; Carole Carribon, Du thermalisme mondain au thermalisme social ? Les villes d’eaux françaises dans l’Entre-deux-guerres (1919-1939), thèse de Doctorat en Histoire sous la direction de Pierre Guillaume, Université Bordeaux Montaigne, 2001.

9 John Scheid, Marilyn Nicoud, Didier Boisseuil et Joël Coste (dir.), Le thermalisme : approches historiques et archéologiques d'un phénomène culturel et médical, Paris, CNRS, 2015.

10 Esteban Castaner, Laurent Jalabert et Nicolas Meynen (dirs.), Thermalisme et patrimoines dans les zones de montagne en Europe du xviiie au xxie siècle, actes du colloque international éponyme qui a eu lieu à Pau les 13 et 14 juin 2019, Pau, PUPPA, 2021 ; Viviane Delpech (coord.), « Thermalisme, montagne et politique », Cahiers d’Histoire Immédiate, n° 54, automne 2020 ; Alice de La Taille, Petite histoire de Bagnères-de-Luchon, Pau, éditions du Cairn, 2021 (à paraître) ; Esteban Castaner, Laurent Jalabert et Nicolas Meynen (dirs.), Patrimoines du tourisme, du thermalisme et de la villégiature en montagne (xviiie-xxie siècle) : histoire et devenir à la croisée des sciences, actes du colloque international éponyme qui a eu lieu à Toulouse les 21, 22 et 23 octobre 2020, Toulouse, PUM, 2022 (à paraître). 

11 Lise Grenier (dir.), Le voyage aux Pyrénées ou la route thermale, Saint-Girons, Randonnées pyrénéennes, 1987 ; Marc Boyer, Le thermalisme dans le grand Sud-Est de la France, Grenoble, Presses universitaires de Grenoble, 2005 ; Richard Bucaille, Jeanne Virieux, Olivier Meunier, et al., Thermalisme et architecture thermale en Puy-de-Dôme, xixe-xxie siècles, Clermont-Ferrand, Un, deux, quatre éditions, 2013.

12 Olivier Faure, « Les petites stations thermales en France au xixe siècle : un autre thermalisme ? », dans Dominique Jarrassé  (dir.), 2000 ans de thermalisme : économie, patrimoine, rites et pratiques, actes du colloque tenu à Royat (Puy-de-Dôme) en mars 1994, Clermont-Ferrand, Institut d’Études du Massif Central, 1996, p. 33-47.

13 Ibid., p. 33.

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Table des illustrations

Titre Affiche du colloque du 18 septembre 2020 sur les stations secondaires
Crédits © Conception graphique Benoît Colas, UT2J/CPRS-DAR
URL http://journals.openedition.org/framespa/docannexe/image/11518/img-1.jpg
Fichier image/jpeg, 1,5M
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Pour citer cet article

Référence électronique

Géraldine Baglin et Nicolas Meynen, « Introduction au dossier « Les stations thermales secondaires en France aux xixe et xxe siècles. Une autre histoire du thermalisme ? » »Les Cahiers de Framespa [En ligne], 38 | 2021, mis en ligne le 25 octobre 2021, consulté le 14 mai 2025. URL : http://journals.openedition.org/framespa/11518 ; DOI : https://doi.org/10.4000/framespa.11518

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Auteurs

Géraldine Baglin

Docteure en histoire de l’art (Rennes 2), chercheure associée FRAMESPA, UMR 5136-CNRS, U. Jean-Jaurès, ingénieure de recherche programme TCV-PYR. geraldine.baglin@gmail.com

Articles du même auteur

Nicolas Meynen

MCF-HC en histoire de l’art contemporain, chercheur FRAMESPA, UMR 5136-CNRS, U. Jean-Jaurès. nicolas.meynen@univ-tlse2.fr

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Droits d’auteur

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Le texte seul est utilisable sous licence CC BY-NC-ND 4.0. Les autres éléments (illustrations, fichiers annexes importés) sont « Tous droits réservés », sauf mention contraire.

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