Bibliographie
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Winckelmann, J. J., 1764, Histoire de l’art dans l’Antiquité, Dresde.
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Notes
Sur les différents aspects du portrait royal, on citera les ouvrages de références suivants : Richter, 1965 et Smith, 1988. Voir également pour les Lagides : Kyrieleis, 1975 ; pour les Séleucides : Fleischer, 1991 ; pour les Attalides : Queyrel, 2003.
Les portraits miniatures témoignent bien de cette large diffusion du portrait royal. Sur ce point voir Galbois, sous presse.
Smith, 1988, p. 26-27.
Galbois, à paraître.
Brécoulaki, 2006.
Winckelmann, 1764. Trad. D. Tassel, introduction et notes de D. Gallo, Paris, 2005, p 350.
Voir en dernier lieu Tsimbidou-Avloniti, 2011, p. 416.
Pline, HN, XXXV, 110.
Nous ne prétendons pas ici à l’exhaustivité. Nous renvoyons à la synthèse si utile de M. Nowicka, Nowicka, 1993, qui référence tous les portraits peints d’Alexandre le Grand et des souverains hellénistiques signalés dans les textes, p. 19-32. Se référer également à Stewart, 1993, qui réunit tous les textes sur les portraits d’Alexandre.
Pline, HN, XXXV, 114. Tableau peint par Antiphilos.
Pline, HN, XXXV, 114. Tableau du peintre Antiphilos qui montre Alexandre avec Philippe et Athéna. Pline signale qu’il est inutile d’énumérer les portraits qu’Apelle a fait d’Alexandre et de son père tant ils sont nombreux (HN, XXXV, 93).
Pline, HN, XXXV, 106 (Alexandre et Pan par Protogène) ou Pline, HN, XXXV, 192 (Alexandre avec Niké et les Dioscures par Apelle).
Pline, HN, XXXV, 92. Une fresque provenant de la maison des Vettii, à Pompéi, pourrait avoir été réalisée d’après le portrait d’Apelle.
Pline, HN, XXXV, 93 (Alexandre triomphant sur un char avec l’allégorie de la Guerre les mains liées par Apelle) ; Pline HN, XXXV, 110 (La bataille d’Alexandre et Darius par Philoxénos d’Érétrie pour le roi Cassandre).
Pline, HN, XXXV, 96.
Pline, HN, XXXV, 138.
Pline, HN, XXXV, 139.
Pline, HN, XXXV, 140.
Pline, HN, XXXV, 85. Trad. A. Rouveret, La peinture ancienne, Recueil Milliet, Paris, 1985.
Pline, HN, XXXV, 86.
C. Ridolfi, Le maraviglie dell’arte, 1648. Trad. D. H. Bodart, dans Bodart, 2011, p. 35, n. 1.
Bodart, 2011, chapitre 1, Charles Quint et Titien ou le mythe d’Alexandre et Apelle, p. 35-49.
Pline, HN, XXXV, 146.
Pline, HN, XXXV, 105-106. Texte établi et traduit par J.-M. Croisille, Paris, 2002 (2e éd.).
Pline, HN, XXXV, 89.
Pline, HN, XXXV, 140. Texte établi et traduit par J.-M. Croisille, Paris, 2002 (2e éd.).
Aristote, Poétique, III, 1448a.
Sur ce point, voir Halm-Tisserant, 2009, p. 149-150. Sur la difficulté de cet exercice, voir Dubus, 2006, p. 71-75.
Paul Fréart de Chantelou, Journal du Cavalier Bernin en France, manuscrit inédit, publié et annoté par Ludovic Lalanne, Paris, Gazette des Beaux-Arts, 1885, p. 99.
Ibid., p. 152.
Plutarque, Vies parallèles, Alexandre, I. 3. Trad. A.-M. Ozanam. Coll. Quarto Gallimard, sous la direction de F. Hartog, Paris, 2001.
Queyrel, 2006, p. 361-362 ; Galbois, à paraître.
Pour une synthèse sur la mimésis, voir Halm-Tisserant, 2009, p. 140-148. Se référer également à Rouveret, 2007, p. 71.
Voir Prioux, 2007a, p. 32 tout particulièrement ; Rouveret, 2007, p. 71-72.
Bastianini, Gallazzi, 2001.
Prioux, 2007a et 2007b.
Pline, HN, XXXV, 65. Texte établi et traduit par J.-M. Croisille, Paris, 2002 (2e éd.).
Pline, HN, XXXV, 65. Texte établi et traduit par J.-M. Croisille, Paris, 2002 (2e éd.).
Élien, Histoire variée, 2.3. Trad. A. Lukinovich et A. Fr. Morand, Paris, 1991.
Pline, HN, XXXV, 85.
Pour un commentaire de ce passage, voir Rouveret, 2003, p. 184-193.
Sur ce point, voir ibid., p. 191-192.
Ballet, 1999, p. 142-143 (avec références littéraires).
Aristote, Poétique, II, 1448a.
Texte établi et traduit par J. Hardy, Paris, 2002 (4e tirage de la 2e éd. revue et corrigée).
Pline, HN, XXXV, 90. Trad. A. Rouveret, La peinture ancienne, Recueil Milliet, Paris, 1985, p. 353, n° 466.
Plutarque, Vies parallèles, Périclès, III. 1 ; Londres, British Museum, 549 ; original vers 425.
Florence, Musée des Offices, vers 1472.
Madrid, Musée national du Prado, 1532 (Charles Quint au chien) ; Madrid, Musée national du Prado, 1548 (Charles Quint à la bataille de Mühlberg) ; Munich, Alte Pinakothek, 1548 (Charles Quint assis).
Urbin, Galleria nazionale delle Marche, 1473-1474.
Bodart, 2011, p. 97-115.
Voir en dernier lieu les réflexions engagées dans le domaine de la coroplathie : Ballet, Jeammet, 2011, p. 39‑82.
Diodore de Sicile, 92, 4.
Plutarque, Vies parallèles, Alexandre, IV.1.
Plutarque, Vies parallèles, Démétrios, II, 2. Trad. A.-M. Ozanam. Coll. Quarto Gallimard, sous la direction de F. Hartog, Paris, 2001.
Vernant, 1986, p. 19-58.
En dernier lieu Mehl, 2008, p. 142-148.
Brown, 1995.
Queyrel, 2002, p. 5-23.
Sur les portraits d’Alexandre le Grand, voir Hölscher, 1971 et Stewart, 1993. Voir également les remarques de Queyrel, 2006, p. 363-364. L’auteur fait par ailleurs le point sur les différentes hypothèses proposées pour identifier cette bataille.
Queyrel, 2006, p. 363-364.
Plutarque, Vies parallèles, Alexandre, IV. 2.
Platon, République, IV, 420c.
Ces mêmes couleurs sont utilisées dans l’imagerie divine. On signalera à titre d’exemple la belle tête en marbre de Sarapis reproduite dans Smith, 1988, pl. 36, fig. 2. Alexandrie, Musée gréco-romain, 3912.
Queyrel, 1984, p. 287, fig. 24 a-d. Mariemont, Musée royal.
F. Queyrel, dans La Gloire d’Alexandrie, catalogue de l’exposition qui s’est tenue, à Paris, au Musée du Petit palais, 7 mai-26 juillet 1998, Paris, 1998, p. 96, n°53. Alexandrie, Musée gréco-romain, 3908.
Dasziewski, 1985, nos38-39, p. 142-160, pl. A, 32-33, 42-44. Pour une étude plus spécifique portant sur les matériaux et les couleurs employés pour confectionner ces mosaïques, voir Nenna, Guimier-Sorbets, 1995, p. 533-537.
Nenna, Guimier-Sorbets, 1995, p. 529.
Dasziewski, 1985, nos 38-39, p. 142-160, pl. A, 32-33, 42-44 ; Queyrel, 1990, 1, p. 149, n° 370. Le buste de la mosaïque peut en outre être rapproché d’un portrait glyptique conservé à Vienne, au Kunsthistorisches Museum, inv. VII 1016, dans lequel je reconnais Arsinoé III. On retrouve par ailleurs sur les deux effigies, la mèche parotide calamistrée. Pour une illustration de cette intaille, se référer à Plantzos, 1999, p. 49, pl. 6, fig. 33.
Bruneau, 1984, p. 241-272.
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Nenna, Guimier-Sorbets, 1995, p. 534.
Halm-Tisserant, 2009, p. 151-152.
Pline, HN, XXXV, 88. Trad. J.-M. Croisille, 2002 (2e éd).
Plutarque, Vies parallèles, Alexandre, LXXIV, 6.
Nowicka, 1993, fig. 4. Altes Museum der Staatliche Museen zu Berlin. Sur la pratique de la damnation memoriae, voir Varner, 2004.
Je reprends la formule de J.-C. Bailly, L’apostrophe muette : essai sur les portraits du Fayoum, Paris, 1997.
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