Navigation – Plan du site

AccueilNumérosTome 71Comptes rendusCédric Moulis dir., Archéologie d...

Comptes rendus

Cédric Moulis dir., Archéologie de la construction en Grand Est, Actes du colloque de Nancy, 26-27 sept. 2019

Florent Delencre
p. 471-474
Référence(s) :

Cédric Moulis dir., Archéologie de la construction en Grand Est, Actes du colloque de Nancy, 26-27 sept. 2019 Nancy, PUN/Éd. Univ. de Lorraine, 2021, 294 p. (Archéologie, Espaces, Patrimoines). ISBN : 978-2-8143-0607-3.

Texte intégral

1Le présent ouvrage, publié sous la direction de Cédric Moulis, fait état des communications qui ont eu lieu les 26 et 27 septembre 2019 à Nancy lors du colloque ArCoGE (Archéologie de la Construction en Grand Est) et a bénéficié du soutien de l’UR 1132 HisCAnt-MA (université de Lorraine), de la DRAC Grand-Est et de l’association Nord-Est Archéologie. Très agréable à lire, avec des illustrations de très bonne qualité et une belle mise en page, ce livre de 294 pages se divise en trois chapitres où se répartissent équitablement les quinze contributions. Issu du succès de l’appel pour une journée d’étude, le colloque avait pour vocation de « faire le bilan de la recherche en Grand-Est sur les questions de l’archéologie du bâti, les chantiers et la mise en œuvre des matériaux » (Introduction, p. 7).

2L’introduction écrite par C. Moulis (p. 7-10) rappelle les enjeux et le cadre de ces journées, ainsi que la volonté pluridisciplinaire qui régit cette rencontre entre les différents acteurs du patrimoine sollicités. Je souscris pleinement au choix du terme d’« archéologie de la construction » pour le titre de ce colloque. En effet, la problématique générale pose ici la question de la construction comme processus actif, de l’approvisionnement à la mise en œuvre des matériaux au sein du chantier. Comme le définit Hélène Dessales, la compréhension et l’observation des traces dans le bâti permettent de caractériser le chantier dans son organisation et sa gestion, au-delà de l’édifice achevé (Dessales, 2017). En cela, le terme apparaît donc comme bien adapté pour les communications présentées.

3En revanche, l’absence de cadre chronologique, aussi bien dans le titre de l’ouvrage que dans l’introduction, peut apparaître importune. Ceci pourrait laisser à penser que l’archéologie de la construction est intrinsèquement liée aux périodes médiévales et modernes. Ce présupposé est bien entendu faux et la période romaine est tout aussi concernée par ces développements méthodologiques (e.g. Adam, 1984 ; Camporeale et alii, 2012 ; Bonetto et alii, 2014 ; Dessales, 2017). À titre d’exemple, la question de la pierre à bâtir est très régulièrement discutée de manière diachronique à l’occasion du Congrès national des Sociétés savantes, dès les années 1990 (Lorenz, Benoit, 1991 ; Lorenz, 1993) et encore très récemment (Blary, Gély, 2020).

  • 1 Ces trois thématiques du colloque rythment l’ouvrage en trois chapitres dédiés pour réunir les com (...)

4L’introduction développe ensuite en quelques pages les trois thématiques scientifiques abordées1, définissant ainsi le fil rouge qui guide chaque chapitre et en donnant des pistes bibliographiques qui montrent l’évolution de la recherche sur ces différentes considérations. Loin d’être un état de l’art poussif et barbant, ces références seront appréciées en permettant d’avoir rapidement un ensemble d’ouvrages à consulter pour s’imprégner des aspects pluridisciplinaires de ces thématiques :

5La grande qualité de ces aspects historiographiques fait regretter cependant que la démarche n’ait pas été poussée au-delà des seules thématiques du colloque et qu’elle fasse l’objet de quelques pages supplémentaires sur les différents matériaux de la construction peu ou pas évoqués (métal, terres cuites architecturales, mortier de chaux).

6La question de la terre cuite architecturale, pourtant partie prenante des élévations et des toitures, est un peu laissée de côté, bien que mentionnée dans plusieurs contributions, montrant une volonté de plus en plus accrue de prendre en compte ce matériau. Ce dernier retrouve d’ailleurs toutes ses lettres de noblesse dans le cadre du Réseau national TCA2 qui réunit depuis 2014 l’ensemble des acteurs de l’analyse des terres cuites architecturales, toutes périodes confondues.

7De même, le mortier de chaux n’est pas mentionné malgré sa part importante dans les constructions. À partir de la fin des années 1980, ce matériau fait l’objet de recherches assidues, notamment pour la période médiévale, comme en témoignent les actes de la table ronde tenue à Dijon en 1987 (Sapin, 1991) et plusieurs thèses universitaires à sa suite (Palazzo-Bertholon, 1998 ; Büttner, 2003).

8Le premier chapitre, « Enjeux, méthodes et techniques de l’archéologie de la construction », réunit cinq contributions touchant à des sujets variés et distincts.

9S. André (p. 13-29) ouvre cette partie en dressant un bilan des opérations portant sur le bâti en Lorraine dans un cadre chronologique limité entre 1991, date de l’émergence des S.R.A., et 2016, pour le dernier changement de législation au moment où son texte est écrit. À partir du nombre, de la répartition et de la nature de ces opérations, par comparaison avec l’Alsace sur les mêmes points, l’auteure montre ainsi que les études portant sur le bâti sont variables au cours du temps, mais aussi contrastées entre les différentes régions. En effet, ces études appartiennent à une dynamique fortement dépendante de la recherche, des pratiques des S.R.A. (à travers la sensibilisation des prescripteurs), de la présence de spécialistes (tant au niveau universitaire que dans les instituts d’archéologie préventive) et de pôles investissant dans l’archéologie du bâti. De plus, ces opérations ont été aussi fortement tributaires des aménagements dans les grands centres urbains.

10Du point de vue des Monuments historiques, N. Guérin (p. 31-46) offre son expérience sur des opérations réalisées en Meurthe-et-Moselle et dans les Vosges. Au travers de différents exemples illustrant des situations variées, le dialogue permanent entre Conservation régionale des monuments historiques, Unités départementales de l’Architecture et du Patrimoine et Service régional de l’Archéologie est caractérisé sous ses différentes facettes, montrant ainsi la nécessaire flexibilité entre opérations de restauration, chantiers de travaux et intérêt scientifique archéologique et architectural.

11Si, dans un premier temps, la contribution de V. Cousquer (p. 47-67) sur l’évolution des restaurations des sculptures de la cathédrale de Strasbourg au cours du temps peut paraître étonnante, les réflexions et les méthodes employées sont très proches de celles de l’archéologie du bâti, dans une discussion permanente entre Monuments historiques et les artisans de la Fondation de l’Œuvre Notre-Dame. Par la conservation des savoir-faire portés par les tailleurs de pierre et les sculpteurs, la compréhension d’un édifice tel que celui de la cathédrale peut être approchée à la fois dans ses composantes architecturales, figuratives et symboliques.

12A. Disser, M. Lhéritier, Ph. Dillmann et M. Leroy (p. 69-90) dressent un portrait des méthodes employées pour la compréhension de l’architecture gothique à partir de l’analyse des métaux mobilisés pour la construction. L’exemple de la cathédrale de Metz offre ainsi un modèle remarquable pour une dynamique d’étude qui est établie depuis plus de trente ans dans le Grand-Est. Par les sources historiques, archéologiques et archéométriques, les chantiers de construction, ainsi que les restaurations, peuvent être dessinés, depuis l’origine des métaux, leur mise en œuvre et la datation des opérations enregistrées. L’analyse de la cathédrale de Metz s’inscrit dans un système de recherches similaires qui prennent place sur ce type d’édifices dans le quart nord-est de la France et permet aux auteurs de dresser un premier bilan qui ne demande qu’à s’étoffer.

13La dernière contribution de ce chapitre, par I. Mangeot et C. Moulis (p. 91-98), présente un outil, la base de données « Image » (Itinéraire médiéval des sites archéologiques du Grand-Est), qui se présente comme une bibliothèque numérique portée par le Pôle archéologique universitaire de l’université de Lorraine au sein de l’UR 1132 HisCAnt-MA.

14Le deuxième chapitre de cet ouvrage, intitulé « Les usages du bois », rassemble également cinq communications.

15P. Bouvart (p. 101-109) offre un premier texte concernant le bois, très richement illustré, à partir de l’exemple de la charpente de la nef de l’église de Lagery dans la Marne. Les analyses historiques, techniques et dendrochronologiques permettent à l’auteur de discuter la mise en œuvre du bois, les phases de construction et les matériaux de couverture supportés par la charpente. Concernant ces derniers, si aucun élément matériel ne vient argumenter l’existence d’une toiture en lauzes, hormis la présence de ressources géologiques propices localement, les textes semblent témoigner de l’usage de la tuile de terre cuite dès le xiiie siècle.

16C. Moulis (p. 111-134) reprend sa plume pour évoquer la question du bois dans les constructions du xiie siècle du diocèse de Toul. Il y recense, dans une première partie, l’ensemble des usages de ce matériau dans le bâti aussi bien pour les charpentes que les élévations. Le thème du colloque prend toutefois tout son sens d’archéologie de la construction par la caractérisation du bois mis en œuvre dans les différentes étapes des chantiers de construction, mais aussi par la caractérisation de l’approvisionnement en matière première et par la gestion du couvert forestier. Les réflexions extrêmement bien argumentées permettent ainsi de dresser le portrait d’un usage dans un cadre chrono-spatial restreint.

17La question des charpentes est reprise à travers un autre exemple : celui du couvent des Dominicaines d’Unterlinden de Colmar par L. Jeanneret en collaboration avec W. Tegel (p. 135-152). Ayant fait l’objet de plusieurs opérations d’archéologie préventive, le diagnostic des charpentes médiévales a permis de caractériser l’assemblage des éléments de construction en bois, de noter les marques et de les dater du xiiie siècle pour les bois les plus anciens. Les comparaisons avec d’autres édifices conventuels de Colmar mettent en lumière de nouvelles données sur un patrimoine méconnu qui offre de belles pistes de recherches pour les années futures.

18Le projet de corpus tectorum, présenté par P. Hoffsummer et S. Aumard (p. 153-167), consiste en un recensement et inventaire raisonné des charpentes, qui s’appuie sur les dossiers d’archéologie du bâti et les études préalables à une restauration. À l’échelle du Grand-Est et de la Bourgogne-Franche-Comté, c’est un peu moins de 400 toitures qui ont pu être analysées et regroupées en groupes typologiques. Indissociables de la charpente, les modes de couverture sont également pris en compte. En effet, matériaux, lattage et pente se répondent dans la conception d’une toiture.

19M. Werlé (p. 169-185) présente, en dernière communication de ce chapitre, les résultats d’une étude portant sur une maison strasbourgeoise de la seconde moitié du xive siècle inscrite au titre des monuments historiques. Comprise dans l’enceinte épiscopale de Strasbourg, cette maison en pierres maçonnées et en pans de bois a connu plusieurs phases de construction et d’agrandissement. Les bois les plus anciens sont datés par dendrochronologie de 1376, correspondant à un moment de reconstruction. Si le bois des élévations a particulièrement été étudié, les briques appartenant à un noyau primitif de la première moitié du xiiie siècle ou encore la charpente, dont l’assemblage peut être retranscrit grâce aux marquages des charpentiers, n’ont pas été délaissées.

20« La pierre et le chantier », le dernier chapitre de cette publication est lui aussi constitué de cinq contributions.

21La première contribution, de Ch. Kraemer et A. Grzesznik (p. 189-205), caractérise l’emploi d’une roche locale au site de Saint-Mont dans les Vosges. Par la connaissance de la géologie fine du site, les constructions sont étudiées selon la perspective de la mise en œuvre de la roche et des savoir-faire techniques liés aux propriétés intrinsèques au granite. Cette nature lithologique particulière n’a été que peu caractérisée dans cette région pour son utilisation dans la construction.

22M. Feller (p. 207-229) présente ensuite un cas d’étude sur l’église romane de Mont-Saint-Martin (Meurthe-et-Moselle). Cette contribution se distingue un peu ici du thème principal du colloque et de celui du chapitre. En effet, l’aspect du chantier de construction est très peu évoqué dans ce texte qui correspond plutôt à une étude classique d’archéologie du bâti, accompagné d’une analyse documentaire et cartographique. Seules l’identification de la nature lithologique des pierres et les traces d’outils sont caractérisées ponctuellement, avec notamment un zoom précis sur le mur gouttereau sud de l’église. Il paraît dommage ici qu’au vu des données présentes, l’accent n’ait pas été mis sur les questions d’approvisionnement, d’acheminement et de mise en forme en tant que marqueurs de l’organisation du chantier de construction.

  • 3 La nature de cette opération n’est pas précisée dans le texte et déduite par le rattachement des a (...)

23Intitulée « Le corps de logis de la commanderie templière et hospitalière d’Avalleur », la présentation, issue d’une opération d’archéologie préventive (?)3 de V. Marchaisseau, C. Roms et P. Testard (p. 231-257) fait état majoritairement de la question de la pierre de construction, mais des remarques sont également apportées sur les peintures murales et les terres cuites architecturales. La question des chantiers de construction et/ou de réfection est très bien abordée ici par la mise en valeur par état d’un phasage, appuyé sur des datations et l’analyse du bâti. Les questions des provenances de la pierre à bâtir, de la mise en œuvre et de la gestion du chantier de construction sont également traitées.

24La contribution suivante de C. Roms et P. Bertrand (p. 259-275) fait l’objet d’une démarche tout à fait similaire portant sur un autre cas d’étude : les résultats d’une fouille d’archéologie préventive sur le pourtour de la collégiale Saint-Vivent de Braux dans les Ardennes.

25En dernier lieu, M. Parisot-Didiot (p. 277-288), en collaboration avec J. Trapp, fait le point sur les travaux de l’association Historia Metensis et ses recherches doctorales pour mettre en lumière les étapes de construction de l’enceinte médiévale de Metz.

26Comme nous l’avons vu, la quinzaine de contributions publiée dans ce colloque aborde des sujets extrêmement variés et on peut comprendre aisément la difficulté d’assurer une cohérence à cet ensemble en raison de la diversité des intervenants. Cet ouvrage réussit pourtant pleinement son rôle d’appui méthodologique pour qui s’intéresse à l’archéologie de la construction. Si des difficultés apparaissent pour séparer épistémologiquement l’archéologie du bâti et celle de la construction pour ce qui concerne la pierre à bâtir, de nouvelles thématiques sont clairement développées en direction d’une compréhension de l’organisation et de la gestion des chantiers.

  • 4 Voir Boulanger et Moulis 2018 pour la publication du colloque Pierre à pierre I.

27C. Moulis, qui est déjà présent dans l’organisation des colloques Pierre à Pierre4, met ainsi en place une dynamique de recherche très importante dans la région Grand-Est et qui porte une volonté de dialogue transdisciplinaire sur des sujets de recherche communs.

28En conclusions, je reprendrai à mon compte les propos de Fr. Fichet de Clairfontaine qui clôt ce livre (p. 289-291) en souhaitant que ce colloque, qui retranscrit un « instantané de recherche », puisse être le premier d’une longue série initiant un dialogue de plus en plus accru entre les différents spécialistes.

Haut de page

Bibliographie

Adam J.-P., 2008, La construction romaine : matériaux et techniques, Paris, éd. Picard, 5ème édition, 368 p.

Blary Fr., Gély J.-P., 2020, Ressources et construction : la transmission des savoirs sur les chantiers, 143ème Congrès national des Sociétés historiques et scientifiques, Paris, éd. du C.T.H.S. (Actes des Congrès nationaux des Sociétés historiques et scientifiques). DOI : https://doi.org/10.4000/books.cths.10512

Bonetto J., Camporeale St., Pizzo A., 2014, Arqueología de la construcción IV. Las canteras en el mundo antiguo : sistemas de explotación y procesos productivos, Actas del congreso de Padova, 22-24 de Noviembre de 2012, Mérida, C.S.I.C./Padova, Univ. degli Studi di Padova/Paris, E.N.S., 438 p. (Anejos de Archivo Español de Arqueologia, 69).

Boulanger K., Moulis C., 2018, La pierre dans l’Antiquité et au Moyen Âge en Lorraine, de l’extraction à la mise en œuvre, Nancy, PUN/Éd. univ. de Lorraine, 686 p.

Büttner St., 2003, Géoarchéologie des liants de maçonnerie en Bourgogne du nord (ve-xixe siècles) : évolution historique et technique, contribution aux études archéologiques de l’abbaye Saint-Germain d’Auxerre et du chevet de la Madeleine de Vézelay, Thèse de doctorat sous la dir. d’A. Tabbagh, Univ. de Paris VI, 2 vol., 500 p.

Camporeale St., Dessales H., Pizzo A., 2012, Arqueología de la construcción III. Los procesos constructivos en el mundo romano : la economía de las obras, Mérida, C.S.I.C./Siena, Univ. di Siene/Paris, E.N.S., 304 p. (Anejos de Archivo Español de Arqueologia, 64).

Dessales H., 2017, « L’archéologie de la construction : une nouvelle approche de l’architecture romaine », Annales. Histoire, Sciences sociales, 72, p. 75-94.

lorenz J., 1993, Carrières et constructions en France et dans les pays limitrophes, Actes du 117ème congrès national des Sociétés savantes, Clermont-Ferrand, 26-30 oct. 1992, Vol. II, Paris, éd. du C.T.H.S., 517 p. (Colloques du C.T.H.S., 9).

lorenz J., Benoit P., 1991, Carrières et constructions en France et dans les pays limitrophes, Actes du 115ème congrès national des Sociétés savantes, Avignon, 9-12 avril 1990, Paris, éd. du C.T.H.S., 467 p. (Colloques du C.T.H.S., 7).

Palazzo-Bertholon B., 1998, Histoire, archéologie et archéométrie des mortiers et des enduits au Moyen Âge, Thèse de doctorat sous la dir. de J.-Fr. Reynaud, Univ. de Lyon II, 3 vol., 560 p.

Sapin Chr., 1991, Enduits et mortiers : archéologie médiévale et moderne, Actes de la table ronde de Dijon, 16-17 oct. 1987, Paris, éd. du C.N.R.S., 123 p. (Dossier de documentation archéologique, 15).

Haut de page

Notes

1 Ces trois thématiques du colloque rythment l’ouvrage en trois chapitres dédiés pour réunir les communications.

2 https://reseautca.hypotheses.org/

3 La nature de cette opération n’est pas précisée dans le texte et déduite par le rattachement des auteurs à l’Inrap.

4 Voir Boulanger et Moulis 2018 pour la publication du colloque Pierre à pierre I.

Haut de page

Pour citer cet article

Référence papier

Florent Delencre, « Cédric Moulis dir., Archéologie de la construction en Grand Est, Actes du colloque de Nancy, 26-27 sept. 2019 »Revue archéologique de l’Est, Tome 71 | 2022, 471-474.

Référence électronique

Florent Delencre, « Cédric Moulis dir., Archéologie de la construction en Grand Est, Actes du colloque de Nancy, 26-27 sept. 2019 »Revue archéologique de l’Est [En ligne], Tome 71 | 2022, mis en ligne le 01 octobre 2022, consulté le 10 décembre 2023. URL : http://journals.openedition.org/rae/16642

Haut de page

Droits d’auteur

Le texte et les autres éléments (illustrations, fichiers annexes importés), sont « Tous droits réservés », sauf mention contraire.

Haut de page
Rechercher dans OpenEdition Search

Vous allez être redirigé vers OpenEdition Search