Plan
Bailly Jean-Sylvain (1736-1793) astronome, premier Maire de Paris
Bernoulli Johann (1667-1748) mathématicien
Bernoulli Daniel (1700-1782) physicien en hydrodynamique
Bossut Charles (1730-1840) mathématicien, collaborateur de l’Encyclopédie
Bouguer Pierre (1698-1758) astronome et mathématicien
Bougainville Louis Antoine comte de (1729-1811) navigateur
Bouvart Michel-Philippe (1707-1787) médecin, professeur au Collège de France
Buffon Georges Louis Leclerc, comte de (1707-1788) naturaliste et écrivain
Condorcet Jean Antoine Nicolas Caritat, marquis de (1741-1794) mathématicien et philosophe
D’Alembert Jean Le Rond (1717-1783)
Diderot Denis (1713-1784)
Frédéric II dit Frédéric le Grand (1712-1786) roi de Prusse
Guibert Jacques-Antoine-Hippolyte, comte de (1743-1790), officier
Lalande Jérome de (1732-1807) astronome
Lespinasse Julie de (1732-1776) organisatrice de Salons philosophiques
Lespinasse Julie de (1732-1776) et D’Alembert Jean Le Rond (1717-1783)
Mercier de Saint léger Barthélemy (1734-1799) abbé et bibliographe
Rousseau Jean-Jacques (1712-1778) écrivain
Voltaire François Marie Arouet, dit (1694-1778)
ADDENDA
Angelo Domenico (1716-1802) maitre italien en escrime
Dictionnaire de Bayle
D’Alembert Jean Le Rond (1717-1783)
D’Alembert Jean Le Rond & Diderot Denis
Dictionnaire de Trévoux
Diderot Denis (1713-1784)
Diderot Denis et Jaucourt Louis de (1704-1780)
Diderot Denis et Shaftesbury Antony Ashley, comte de (1671-1713)
Du Châtelet Émilie (1706-1749), mathématicienne, femme de lettres
Eisenberg Friedrich Wilhelm, Baron de (1685-1764), écuyer
Girard Pierre-Jacques-François, maître d’armes
Hélvétius Claude-Adrien (1715-1771) philosophe
Malouin Paul-Jacques (1701-1778) médecin-chimiste
Liste des Catalogues utilisés :
Bailly Jean-Sylvain (1736-1793) astronome, premier Maire de Paris
– L.A.S., « Bailly » à « Mon cher et illustre ami » [le mathématicien italien l’Abbé Frisi]. Paris, 27 novembre 1784. 1 p. 1/2 in-4. Excellente conservation [petit manque à l’ouverture du cachet de cire]. Après avoir soutenu ardemment l’élection de Paolo Frisi à l’Académie royale des Sciences de Paris, Bailly apprend la maladie de son confrère et ami. En réalité, Paoli Frisi est déjà mort [le 22 novembre] lorsque Bailly lui écrit cette lettre : « … J’ai été affligé, en recevant votre lettre, d’apprendre que vous avez été si longtems malade. Une vie comme la vôtre consacrée au travail devroit bien être exemte de ces souffrances ; mais la célébrité qui nous éleve, qui souvent nous expose à des maux nouveaux ne nous sauve point de ceux qui affligent l’espece humaine. Les bonnes nouvelles que vous me donnez me donnent cependant l’esperance que ma lettre vous trouvera rétabli […]. Je suis bien aise que vous ayez exemplaires...