La direction et les instances éditoriales de la Revue du droit des religions veillent à assurer la qualité scientifique de la revue, en respectant notamment les règles de bonne pratique énoncées ci-dessous. Ce document s’inspire des recommandations du Committee on Publication Ethics (COPE).

Engagements du comité de rédaction

Le comité de rédaction s’engage à faire suivre aux propositions d’articles une procédure de sélection et d’évaluation rigoureuse et diligente, conformément aux étapes décrites dans la procédure de sélection des textes.

Après un contrôle préliminaire effectué par l’équipe de la revue pour garantir l’adéquation des propositions à la ligne éditoriale de la revue, les textes proposés pour un dossier thématique ou la rubrique varia font l’objet d’une évaluation dite « en double aveugle » : l’auteur ne connaît pas l’identité des évaluateurs et les évaluateurs ne connaissent pas l’identité de l’auteur. Il y a au moins deux réviseurs pour chaque article. Les articles qui ne s’inscrivent pas dans la politique éditoriale de la revue peuvent être rejetés par le comité de rédaction sans qu’un rapport d’évaluation soit fourni.

Le comité éditorial s’engage à vérifier que l’évaluation des articles est effectuée de manière objective et que celle-ci respecte les directives et les règles applicables aux évaluateurs.

Les notes de lecture et les chroniques font l’objet d’une simple évaluation interne au comité de rédaction.

Les informations concernant les textes soumis à la revue ne sont pas diffusées en dehors du comité de rédaction, hormis aux auteurs et aux responsables des évaluations. Le comité de rédaction garantit la confidentialité du processus d’évaluation, en particulier l’anonymat des auteurs et des évaluateurs.

Le comité de rédaction décide in fine de la publication des articles soumis. Il tient compte, dans ses décisions, des exigences légales en matière de diffamation, de violation du droit d’auteur et de plagiat. Le comité se réserve le droit d’examiner les articles au moyen d’un logiciel de détection de plagiat (Compilatio), dont les résultats sont étudiés d’une façon critique. En cas d’emprunts substantiels à d’autres travaux sans que les sources soient dûment citées, la proposition d’article est refusée.

En cas de contestation de la décision par un auteur, l’ensemble des membres du comité de rédaction est consulté.

Engagement des auteurs

Les auteurs soumettent à la revue des textes inédits, qui ne doivent pas être soumis à d’autres revues après acceptation. Ils garantissent qu’il n’y a aucune forme de plagiat dans leur texte et qu’ils citent explicitement les travaux (y compris les leurs) et sources pertinentes à l’origine de leur texte. Il leur appartient d’obtenir les éventuelles autorisations de reproduction nécessaires.

La Revue du droit des religions accepte de publier des articles publiés originellement dans d’autres langues et traduits en français. Dans ces cas, les auteurs doivent donner la référence de la première publication et fournir l’autorisation de l’éditeur original.

Lorsqu’un article a plusieurs auteurs, celui qui est en contact avec la revue veille à ce que toutes les personnes concernées aient donné leur accord à la soumission du manuscrit et approuvé la version finale de l’article accepté pour publication.

Les auteurs sont tenus, pour tous les documents soumis, de participer à un processus d’évaluation par les pairs et de suivre les directives de publication.

Les auteurs doivent indiquer tout conflit d’intérêts potentiel, professionnel ou financier, qui pourraient avoir une incidence sur leur projet de publication. Les financements des projets de recherche ayant rendu possible l’étude doivent être indiqués.

Engagement des évaluateurs

En acceptant de réaliser l’évaluation d’un article, les réviseurs reconnaissent avoir les compétences requises. Ils veillent à communiquer leur évaluation dans le délai convenu. S’ils se trouvent dans l’impossibilité de fournir leur compte-rendu à temps, ils doivent en informer rapidement la revue.

Les évaluateurs garantissent la confidentialité du texte qui leur est confié. Ils ne peuvent l’utiliser dans un autre contexte ou communiquer des éléments de l’article avant sa publication.

Ils déclarent spontanément tout conflit d’intérêts potentiel.

Ils signalent dans leur évaluation, autant que possible, d’éventuels emprunts à d’autres travaux de recherche dont l’origine ne serait pas mentionnée, que ces travaux soient publiés ou inédits.

Les évaluateurs mènent leur évaluation en visant à l’objectivité et à l’impartialité. Ils rendent un avis clair, argumenté et respectueux de l’auteur, dont l’objectif est d’améliorer l’article.