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Actualité internationale
Repères sur les systèmes éducatifs

République tchèque : une décennie de réformes et de projets

Tomáš Klinka
p. 38-44

Texte intégral

1La République tchèque, pays d’Europe centrale avec 10 524 000 habitants (données de 2021), membre de l’Union européenne depuis 2004, a rendu l’instruction universelle obligatoire dès la fin du xviiie siècle. Depuis l’instauration de la démocratie en 1989, l’État a décidé de décentraliser l’administration publique, y compris le système éducatif. Le ministère de l’éducation, de la jeunesse et des sports (MŠMT) veille à l’organisation de l’enseignement dans le pays, laissant une autonomie assez large aux institutions éducatives, du primaire au supérieur. Les élèves tchèques atteignent des résultats moyens ou au-dessus de la moyenne dans les enquêtes internationales comme Pisa ou Timss.

  • 1  Classification internationale type de l’éducation. Pour en savoir plus, voir, sur le site de l’Une (...)

2Le système éducatif tchèque a gardé la même structure depuis le début des années 1990. Il conserve globalement la division en niveaux CITE1 1, 2 et 3 mais intègre par ailleurs deux voies parallèles pour les deux derniers niveaux, car dans le secondaire, il existe encore des « écoles élémentaires » (Základní škola), qui accueillent les niveaux 1 et 2 (élèves de 6 à 15 ans), et des lycées, pour une durée de six à huit ans (Víceletá gymnázia), destinés aux élèves de 11 ou 13 ans à 18 ans. Parmi ces derniers, environ 20 % y accèdent sur sélection par un examen d’entrée, après avoir terminé le premier niveau de l’école élémentaire. La grande majorité des élèves continue donc dans les écoles élémentaires puis dans le secondaire, à l’âge de 15 ans, pour des études qui durent quatre ans (Prokop, Kohout-Diaz et Bendl, 2011).

3La décision du parcours est entièrement dans les mains des familles qui ont, tout au long de la scolarité de leurs enfants, au moins quatre moments où elles peuvent – et souvent doivent – choisir l’établissement de leur enfant (choix de l’école maternelle, élémentaire, lycée de huit ou six ans et enfin modalité des études secondaires). La carte scolaire existe et privilégie l’accueil des élèves dans tel ou tel établissement selon leur résidence, mais les familles ont toute liberté d’inscrire l’enfant ailleurs, s’il reste des places dans l’établissement souhaité.

4Au cours de l’année scolaire 2021-2022, la République tchèque comptait 5 349 écoles maternelles, avec une moyenne de 67,4 enfants par établissement, et 21,5 par classe. La grande majorité de ces enfants a entre 3 et 5 ans. En 2020, l’État a rendu obligatoire la dernière année de l’école maternelle, pour préparer l’entrée à l’école primaire. Les écoles élémentaires (qui accueillent les élèves de 6 à 15 ans) sont divisées en deux niveaux (premier degré de 6 à 11 ans et second degré de 11 à 15 ans) et comptaient 4 238 établissements avec 964 571 élèves. Un habitant sur onze suit donc l’instruction obligatoire qui s’étend désormais de 5 ans (dernière année de maternelle) à 15 ans (dernière année de l’école élémentaire). Notons aussi que le nombre d’élèves dans les établissements privés a doublé entre 2015 et 2022, passant de 3,5 % à 6,6 %. En ce qui concerne la tranche d’âge 15-19 ans, il y avait 446 254 élèves dans 1 285 établissements, dont 78,9 % se préparaient à passer le baccalauréat. Un tiers de ces élèves suit l’enseignement dit général, les autres étant inscrits dans les filières spécialisées ou techniques. Un quart des établissements secondaires destinés aux élèves de 15 à 19 ans est privé.

5Selon le dernier recensement de la population en 2021, 12 % déclarent avoir atteint le niveau de l’éducation de base CITE 2 (23 % en 2001 et 17,6 % en 2011), 62,5 % les niveaux CITE 3 à 5 et 17,6 % détiennent un diplôme universitaire (contre 8,9 % en 2001 et 12,5 % en 2011). Ces chiffres montrent la hausse du niveau d’éducation de la population tchèque mais cachent l’une de ses caractéristiques majeures, l’inégalité. Ainsi, la région de Prague, capitale du pays, compte presque quatre fois plus de titulaires d’un diplôme universitaire que la région de Karlovy Vary, frontalière avec l’Allemagne (37,3 % contre 10,5 %), où 18,4 % des habitants n’ont pas terminé leur éducation élémentaire.

6Outre ces disparités, la qualité de l’enseignement varie selon les régions, souvent en corrélation avec leur situation socio-économique. Les autres points faibles du système éducatif tchèque signalés pendant toute la dernière décennie, sont : un financement insuffisant de l’État (malgré les efforts réalisés ces dernières années, qui ont permis d’arriver juste au-dessous de la moyenne des pays de l’Union européenne en 2018 ou de l’OCDE en 2021) ; une sélectivité trop grande pour l’entrée dans le secondaire ; le vieillissement de la population des enseignants ; enfin, des décisions stratégiques non étayées par des données précises (EDUin, 2019).

7L´enseignement tchèque est en partie financé par des fonds structuraux de l’Union européenne. Durant la dernière décennie, 90 % des écoles élémentaires et 75 % des établissements secondaires ont été reconstruits ou ont bénéficié de budgets pour l’achat de matériel grâce à ces financements. L’argent est aussi investi dans la formation continue des enseignants. Pourtant, selon l’organisme non gouvernemental EDUin (2019), l’efficacité de certains projets reste à prouver et le financement européen de l’enseignement tchèque complète souvent simplement des dépenses publiques insuffisantes.

8L’enseignement en République tchèque fonctionne selon les dynamiques décrites par Prokop et al. (2011), dont certaines sont contestées par les spécialistes ou par les organismes non gouvernementaux (décentralisation et trop grande autonomie des établissements, inégalités entre régions, sélectivité, manque de données, etc.). Le public tchèque se déclare plus content que mécontent de l’état du système éducatif (avec 35 % de personnes satisfaites ou plutôt satisfaites contre 29 % de plutôt mécontentes ou mécontentes selon l’étude du Centre de recherche sur l’opinion publique (CVVM) en 2021).

9L’examen de certains autres aspects est pourtant déterminant pour la compréhension des enjeux de l’éducation en République tchèque dans les années à venir.

Le développement du système éducatif tchèque

10Dans les années 2010, le système éducatif tchèque a connu très peu de changements structuraux. La seule évolution a consisté en l’allongement de la durée de la scolarisation obligatoire, mentionnée supra. Le projet d’ouverture des écoles maternelles aux enfants de 2 ans, proposé par l’État qui garantit ce droit à toutes les familles depuis 2020, n’a pas abouti à l’augmentation du nombre de ces enfants dans les écoles maternelles, ce qui s’explique en partie par les critiques des spécialistes ainsi que par un manque de préparation des établissements pour accueillir les enfants de cet âge.

11En revanche, les tentatives de changement du système de financement des établissements éducatifs (outre les universités) ont réussi à implanter au sein même de l’éducation tchèque une dynamique de concurrence entre les établissements. Désormais, les écoles tchèques ne sont plus financées en fonction du nombre d’élèves mais leur budget dépend des équipes pédagogiques et est fixé en fonction du nombre de cours qu’elles assurent.

12Autre projet réussi de l’État : l’inclusion ou « l’éducation ensemble », à partir de 2015, met fin à la séparation automatique des élèves handicapés ou présentant de graves troubles d’apprentissage, souvent socialement défavorisés, dans des établissements spéciaux dits « écoles pratiques ». Actuellement, tout enfant, sauf si ses parents en décident autrement, a le droit de réaliser son parcours scolaire dans des établissements communs, avec du soutien. Pour garantir la qualité de l’enseignement dans ces nouvelles conditions, l’État a augmenté le nombre d’assistants et continue à investir dans la formation des enseignants.

13Les évaluations nationales sont le dernier grand projet achevé de la décennie écoulée. L’État a abandonné ses objectifs d’examens nationaux réguliers visant à examiner le niveau de connaissance de toute une tranche d’âge d’élèves (l’unique étude de ce type, réalisée en 2017, se centrait sur la langue tchèque, sur les mathématiques et sur les compétences générales à la fin des premier et second degrés de l’école élémentaire). Les enquêtes sont désormais réalisées par l’inspection scolaire tchèque (Česká školní inspekce), de façon ponctuelle et sur un échantillon limité.

14Les évaluations nationales ne consistent actuellement qu’en deux types d’examens conçus par une institution publique, le CERMAT (Centre de recherche sur les résultats en éducation). Il s’agit du baccalauréat national et des examens d’entrée dans les lycées de huit, six et quatre ans.

15Le baccalauréat national a été introduit en 2011, après plus de dix ans de préparatifs. Actuellement, il existe sous forme de test administré centralement et il est passé le même jour dans tout le pays. Il complète les baccalauréats scolaires. Ce baccalauréat national consiste en deux tests didactiques qui portent sur la langue tchèque et sur une langue étrangère ou les mathématiques. Les initiatives pour faire de l’examen de mathématiques une troisième partie obligatoire de ce baccalauréat national n’ont jamais abouti.

16Les examens d’entrée au lycée et dans d’autres types d’établissement où la scolarité est sanctionnée par l’examen du baccalauréat ont une forme similaire à celle des tests du baccalauréat. Depuis 2017, ce test évalue les candidats en mathématiques et en langue tchèque. Il s’agit d’examens sélectifs dont la forme et les corrigés sont rendus publics sur le site du CERMAT.

Projets curriculaires

17L’intérêt porté au domaine curriculaire est un leitmotiv de l’éducation tchèque. L’instauration de programmes éducatifs cadres au début de ce siècle a changé la donne, faisant de l’État le garant des résultats scolaires formulés comme des « compétences clés » (compétence à apprendre, à résoudre des problèmes, communicative, sociale et relationnelle, civique, professionnelle) et laissant aux établissements le soin de chercher leurs propres stratégies pour les faire acquérir aux élèves. Ainsi, les programmes concrets (sujets abordés, heures destinées aux matières, etc.) varient d’une école à l’autre, tout en se référant au canevas du cadre commun. Ces « documents éducatifs scolaires », qui guident les chemins vers les compétences, tiennent compte du contexte éducatif des établissements (ville/campagne, spécialisation en langues ou en sciences, etc.).

18Deux grands projets de réforme en relation avec les contenus d’apprentissage ont été réalisés ou commencés depuis 2010.

19Le premier, appelé Stratégie 2020, contenait trois priorités essentielles : 1) la réduction des inégalités, 2) la réforme de la formation des enseignants (voir infra) et 3) l’amélioration de la qualité d’enseignement, sans modifier les contenus de l’enseignement. Citons comme exemple une seconde langue vivante rendue obligatoire au plus tard à l’âge de 13 ans, en 2013.

20La nouvelle « Stratégie pour la politique éducative de la République tchèque jusqu’en 2030+ », approuvée par le gouvernement le 19 octobre 2020, formule deux objectifs stratégiques : 1) axer davantage l’éducation sur l’acquisition des compétences nécessaires à une vie civique, professionnelle et personnelle active et 2) réduire les inégalités d’accès à une éducation de qualité et permettre le développement maximal du potentiel des enfants, des élèves et des étudiants (MŠMT, 2020).

21Dans la logique de l’axe 1, une réforme du curriculum basée sur de nombreux débats et consultations d’experts est en cours de préparation, commençant par les écoles élémentaires. L’actualisation du document éducatif cadre pour ce niveau introduit deux nouvelles compétences (compétences clés numérique et culturelle), qui devraient être développées de manière transversale. L’enseignement explicite de contenus tels que la programmation est renforcé au détriment du nombre d’heures de cours de matières comme l’histoire ou la géographie.

22L’État propose une conception du curriculum qui comporte une large possibilité d’ « ajustement » selon les établissements : 15 % du volume de cours pour le niveau CITE 1 et 30 % pour le niveau 2 seront rendus « disponibles » pour travailler des contenus supplémentaires ou renforcer la base commune de connaissances et de compétences. Les établissements pourront créer de nouvelles matières en rassemblant des contenus ou orienter l’établissement, par exemple, davantage vers les sciences. Le rôle des approches transversales et interdisciplinaires devrait être ainsi renforcé. L’État envisage en même temps de renoncer à la seconde langue vivante obligatoire au plus tard à l’âge de 13 ans depuis 2013 et de mettre l’accent sur la thématique du bien-être dans les programmes.

Les enseignants

23Les enseignants (appelés dans la loi tchèque « travailleurs pédagogiques ») représentent l’élément de base de la qualité du système éducatif, et ce constat est répété dans tous les documents stratégiques présentés supra. En République tchèque, huit enseignants sur dix sont des femmes, aux niveaux primaire et secondaire. Le nombre d’enseignants est passé de 135 000 en 2017 à près de 150 000 en 2021.

24Les enseignants du primaire ne suivent pas la même formation initiale que ceux du secondaire. Leur parcours éducatif comprend cinq années d’études et se termine par un examen d’État au grade de master. Outre les matières communes comme la langue tchèque, les mathématiques et l’éducation physique, ces futurs enseignants choisissent une spécialisation en éducation musicale ou artistique ou encore dans une langue étrangère.

25Les enseignants des niveaux CITE 2 et 3 sont majoritairement spécialistes de deux disciplines scolaires. Leur formation comprend deux étapes, licence et master. Si seul le programme de master inclut la formation pédagogique, la plupart des programmes de licence contiennent des notions de pédagogie, de psychologie et de didactique. Ces dernières années, le nombre d’heures de stages d’observation et/ou de pratique en autonomie a été augmenté.

26Il existe neuf facultés pédagogiques (Pedagogická fakulta). Malgré leur prestige et une certaine exclusivité en matière de formation des enseignants, surtout pour le primaire, elles ne sont pas les seules à former les futurs enseignants car toutes ne permettent pas d’étudier toutes les matières. Ainsi, les facultés de lettres, de sciences ou de sports participent également à la formation initiale des enseignants. Faisant partie des universités, les facultés bénéficient d’une grande autonomie en ce qui concerne la conception des programmes, qui sont cependant contrôlés par le Bureau national des accréditations, une institution d’État.

27Une fois titulaire d’un master, l’enseignant ne devient pas fonctionnaire d’État mais doit être recruté par un établissement qui devient son employeur. C’est donc ensuite la direction de cet établissement qui se charge de l’insérer dans le monde du travail pédagogique. Un nouveau projet d’officialisation des « enseignants-accompagnateurs » dans tous les établissements fait partie de la réforme de la loi éducative pour l’année 2023. Ces enseignants bénéficieraient d’une rémunération supplémentaire et seraient formés à l’accompagnement des enseignants débutants.

28Le ministère est conscient du rôle clé des enseignants pour faire aboutir ses projets de réforme mentionnés supra. Au début des années 2010, un projet de création de grades d’expertise des enseignants (Kariérní řád) a été proposé, mais n’a pas été validé par le parlement. Ce système prévoyait quatre grades dans la carrière d’un enseignant, allant de novice à expert, et comprenant des différences de rémunération et de responsabilités. Suite à l’abandon de ce projet, le ministère a mené une nouvelle tentative en créant le document cadre des qualités d’un enseignant débutant et en formalisant le rôle des « enseignants-accompagnateurs de stages », qui interviendraient dans les facultés en formation initiale, et des « enseignants-accompagnateurs » qui s’occuperaient des débutants dans le métier. Le ministère a en même temps lancé une étude périodique concernant les besoins des étudiants des facultés d’éducation, dans l’objectif de trouver la meilleure organisation possible de la formation initiale.

29Les salaires, élément souvent cité comme essentiel pour la qualité et la motivation du corps enseignant, sont longtemps restés au-dessous de la moyenne des salaires de la population titulaire d’un diplôme universitaire. Pourtant, au cours des cinq dernières années, ils ont été augmentés et ont atteint 115 % du salaire moyen dans le pays. Actuellement, l’État propose une loi qui les fixerait à 130 %.

30L’offre de formation continue proposée aux enseignants tchèques est vaste et variée, avec une offre aussi bien publique, avec l’Institut pédagogique national (Národní pedagogický institut) que privée. Les programmes de formation continue destinés aux enseignants doivent être accrédités par le ministère. Ceux qui sont financés par l’Union européenne représentent une ressource importante pour gérer la formation des équipes pédagogiques.

31Pour pallier le manque d’enseignants dans certaines disciplines (mathématiques, sciences, anglais…), l’État prévoit l’ouverture des postes à des spécialistes du domaine sans formation pédagogique. L’obligation du niveau master de leur formation universitaire est maintenue. Ces spécialistes auront trois ans pour suivre une formation didactique et pédagogique de plusieurs centaines d’heures. Cette formation serait dispensée par les facultés pédagogiques ainsi que par des organismes privés accrédités.

Covid-19

32Pour comprendre les enjeux des années à venir, il ne faut pas oublier la période de la pandémie de Covid au cours des années 2020-2022. La période de fermeture des établissements scolaires en République tchèque a été la plus longue d’Europe. L’adaptation à l’enseignement distanciel ou hybride a été plus ou moins réussie, suivant la distribution territoriale des inégalités. Les établissements qui fonctionnaient bien avant la pandémie ont réussi à maintenir le niveau de l’enseignement. On estime à dix mille le nombre d’élèves qui n’ont suivi aucune forme d’enseignement à distance durant la fermeture des écoles.

33L’État a réussi à aider les enseignants du point de vue matériel. Il a versé de l’argent pour l’achat d’un ordinateur pour chaque enseignant. Une aide méthodologique a été également été mise en place.

34Un Plan national de renouvellement (Národní plán obnovy), financé par des fonds européens, a été lancé à partir de 2021. Le ministère de l’éducation est chargé de trois composantes de ce plan pour un montant qui approche un milliard d’euros. Il s’agit de financer l’innovation dans l’éducation en contexte numérique, l’adaptation des programmes scolaires et le financement de la recherche et de l’innovation.

35La situation après la pandémie n’est que l’un des enjeux des années à venir. D’ailleurs, la nécessité de l’enseignement à distance a accéléré le développement des compétences numériques des élèves comme des enseignants. Ce sont surtout les grandes disparités dans la qualité des établissements et les inégalités entre les régions qui représentent un défi majeur. L’État essaie d’y remédier par une certaine modernisation du curriculum, le projet de réforme de la formation initiale des enseignants et le financement de la formation continue. La garantie d’un budget suffisant pour l’éducation est un autre défi pour le gouvernement. Plus important encore, l’éducation doit devenir un sujet public, faisant l’objet d’une stratégie à long terme et d’un intérêt de la population.

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Bibliographie

EDUin (2019). Audit vzdělávácího systému [Audit du système éducatif]. https://audit.eduin.cz/

MŠMT (Ministry of education, youth and sports) (2020). Strategy for the Education Policy of the Czech Republic up to 2030+. https://dgxy.link/cXZsM

MŠMT (2022) : Výroční zpráva o stavu a rozvoji vzdělávání v České republice v roce 2021. Ministerstvo školství, mládeže a tělovýchovy České republiky [Rapport annuel sur l’état et le développement de l’éducation en République tchèque en 2021. L’éducation en 2021 en données. Ministère de l’éducation, de la jeunesse et des sports de la République tchèque].

OECD (2022). Education at a Glance 2022. OECD Indicators.

OECD (2018). Education at a Glance 2018. OECD Indicators.

PROKOP J., KOHOUT-DIAZ M., BENDL S. (2011). « République tchèque : mutations de l’éducation primaire et secondaire ». Revue internationale d’éducation de Sèvres, no 58, p. 28-33. https://doi.org/10.4000/ries.2144

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Notes

1  Classification internationale type de l’éducation. Pour en savoir plus, voir, sur le site de l’Unesco: https://dgxy.link/PofDb (NdlR).

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Pour citer cet article

Référence papier

Tomáš Klinka, « République tchèque : une décennie de réformes et de projets »Revue internationale d’éducation de Sèvres, 93 | 2023, 38-44.

Référence électronique

Tomáš Klinka, « République tchèque : une décennie de réformes et de projets »Revue internationale d’éducation de Sèvres [En ligne], 93 | septembre 2023, mis en ligne le 01 septembre 2023, consulté le 22 avril 2025. URL : http://journals.openedition.org/ries/14079 ; DOI : https://doi.org/10.4000/ries.14079

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Auteur

Tomáš Klinka

Tomáš Klinka est enseignant-chercheur en didactique des langues étrangères. Il dirige le département de langue et littérature françaises de l’université Charles, à Prague, en République tchèque. Courriel : tomas.klinka[at]pedf.cuni.cz

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Droits d’auteur

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