5 | 2001
La mort à l'œuvre
De part son intensité dramatique, la mort se prête bien à la fiction, devient facilement un thème romanesque et théâtral, joue un rôle majeur dans la construction des intrigues : les cadres diégétiques et les fonctions narratives montrent comment on tue, comment on meurt en littérature et au théâtre. Du romantisme au naturalisme et au vérisme, de la littérature enfantine au théâtre, des romans historiques au fantastique, les articles ici réunis explorent les manières multiples par lesquelles les œuvres de la littérature italienne du XIXe et du XXe siècle utilisent la mort comme ressort narratif ou comme métaphore ; ils en analysent la portée philosophique ainsi que les modalités narratives et les codes rhétoriques, stylistiques et poétiques mis en œuvres.
Une démarche qui relie également les textes aux faits de société et à l'espace du privé, à l'histoire des mentalités et aux thèmes anthropologiques.
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Introduction [Texte intégral]
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Les Operette morali ou les fêtes du deuil [Texte intégral]
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« Le dernier mot à Bazouge » [Texte intégral]Sur la représentation de la mort dans le roman naturaliste et vériste
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La mort à la sicilienne : Pirandello et Lampedusa [Texte intégral]
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Le « Kursaal des morts » dans Alcesti di Samuele d’Alberto Savinio [Texte intégral]
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Mors – Morselli [Texte intégral]
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Exercices de stèle [Texte intégral]Trois auteurs fantastiques du XXe siècle face à la question de la mort
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De la mort comme thème littéraire au langage comme négativité [Texte intégral]