Peu d’historiens et d’historiennes ont contribué aux contenus de Volume ! depuis sa naissance. Prenons d’abord les statistiques générales : si l’on compte le nombre d’auteurs « historiens » en un sens étroit, on arrive à 32 personnes, dont 5 n’ayant pas publié d’articles ou dirigé de numéros (4 auteurs de notes de lecture, 1 de compte-rendu de séminaire) et 6 de nationalité autre que française. Concentrons-nous sur les 21 personnes restantes, dont les contributions sont plus significatives et dont nous avons plus facilement pu reconstituer – sommairement – des éléments de carrière et d’affinités historiographiques.
Première chose à noter, ceux dont les recherches de deuxième (maîtrise, D.E.A. ou Master) ou de troisième cycle (thèse de doctorat) ont pris pour objet, de façon significative si ce n’est centrale, les musiques populaires, ne constituent qu’un peu plus de la moitié de l’échantillon :
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Giulia Bonacci (le rastafarisme),
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Marion Henry (les brass bands britanniques),